#miscelleanees# … Juillet 2017

13 août 2017   0 commentaire   permalink

Juillet … le temps des vacances 😉

Le 4 … cela faisait longtemps … balade en vélo au milieu des champs …

 

 

Le 7 … il était plus que temps. L'expo Street Générations à la Condition Publique à Roubaix ferme ses portes le 9. Une belle réalisation dominée par l'omniprésence de Jef Aerosol et C215 inside mais aussi à la périphérie de l'expo (extérieur et terrasse).

 

 

 

 

Du 9 au 12 … passage en mode babysitting, bonheur et courbatures 😉

Et puis le 13, Papa Loup aka le Dushechkin part pour 1 mois en Sébastopol … 🙁 … direction aéroport et au retour petit passage à Neerpede (on se console comme on peut) … Iota, Mehsos, …

 

 

Le 14 … un colis de chez Impossible avec le film Color600 tuné « Keith Haring ». D'accord le cadre bouffe (dévore ou picore ?) la photo (dixit l'inconditionnel du white frame), il va falloir trouver une utilisation adéquate … graff ? extérieur ? fleur ? … (à lire)

 

 

 

Le 23, retour de Nivezé et petit détour par Seraing … face à face un quartier en pleine rénovation et les installations abandonnées des usines Cockerill. Dans un entrepôt, bientôt réhabilité, un espace en transition accueille le festival Use-In … Pour moi, c'était certainement relâche 😉 … l'abandon n'était pas que virtuel. Quelques égarés, un DJ et sa musique et quelques plaques de bois marquées du passage de quelques streetartistes (Jaba, Ocreos, Iota, …) …

 

 

 

et doucement, le mois se termine …

 

#japon2017# … Hiroshima, 72 ans …

8 août 2017   1 commentaire   permalink

Il y a 72 ans, little boy effaçait de la carte une partie d'Hiroshima et de ses habitants … le feu, le souffle, les radiations. Quelques jours plus tard c'était au tour de fat man et Nagasaki.

 

 

 

 

 

 

 

#japon2017# … Soleil levant et matin calme

30 juillet 2017   1 commentaire   permalink

Au 13e siècle les japonais durent faire face aux velléités mongoles d’envahir leur pays à partir de la Corée. Le grand Koubilaï Khan rêvait d’ajouter le Japon à son glorieux palmarès de conquérant. On a la todo list qu’on mérite 😉

Hélas, une tempête mémorable, un vent divin (kamikaze), mit un terme à ses espoirs en engloutissant sa flotte de jonques et l’armée qu’elles transportaient.

Cela se passait à quelques encablures d’Hakata (ou Fukuoka) sur l’île de Kyushu.

Quelques siècles plus tard, sur le pier d’Hakata, mer calme, ciel serein (oui, à défaut de jonques mongoles ce serait plutôt les missiles foireux de ce bon Mr Jung Un qu’il faudrait craindre) et là-bas, plus loin, à quelques centaines de kilomètres, Busan, la Corée ..

 

 

 

 

 

 

 

 

#japon2017# … Où il est question de polaroids, de sushis et de haïkus …

23 juillet 2017   0 commentaire   permalink

 

Sur la cloche du temple

S’est posé un papillon

Qui dort tranquille.

Yosa Buson ( 1716-1783 )

Le Japon c'est … Il y a les mots. Pas toujours … Il y a bien les haïkus sorte de sushis poétiques. Une bouchée suffit. Mais parfois le ressenti relève de l'indicible, du moins pour un non-poète tel que moi. Heureusement, il y a les polas 😉

Dénigrer autrui ?

Je me lave l’esprit

En écossant mes pois.

Nakatsuka Ippekiro ( 1887-1946 )

 

 

 

 

 

 

 

{Polaroid SX70 ND filter / Film TIP Color600}

Keith Haring cadre chez Impossible Project …

18 juillet 2017   1 commentaire   permalink

Impossible Project vient effectivement de sortir une édition spéciale de son film Color600 … rien de neuf côté chimie mais un cadre à la façon de Keith Haring.

J’aime Keith Haring pour sa fraîcheur, sa (trop ?) grande simplicité, son parcours, son art accessible, inspiré du graffiti, à mille lieues d’un intellectualisme déprimant. Et le voilà qui se retrouve en cadre de polas. Triste sort ?

Pour un inconditionnel (proche de l’intégriste viscéral) du cadre blanc cela tient/pourrait tenir de l’hérésie ou, à tout le moins, de la faute de goût. Un peu comme Fuji qui en Hello-Kittysant (ça se dit ?) ses films (et ses caméras) peut attirer un public ad hoc, Impossible Project, sur un axe plus intellectuel (?) fait de même … Le business a ses raisons … Et tant mieux si cela dope les ventes, attire un public et assure la pérennité de cette société. C’est tout ce que je souhaite.

Sur un plan plus « photographique », j’ai l’impression que ce type de cadre « bouffe » la photo. Le regard se porte sur ces sympathiques silhouettes colorées imbriquées et en oublie la partie centrale, l’instant qu’on a voulu graver dans le marbre photosensible.

Réticent mais aventurier, j’ai commandé quelques packs de cette cuvée. La boite est assurément jolie et, apres déballage, la question s’est posée … qu’allais-je photographier ? Alors qu’un cadre blanc va avec tout, le cadre Keith Haring me paraît plus difficile à assortir et pose le difficile problème de trouver un sujet en adéquation …

Apres une première photo test (le colis arrive, on déballe fébrilement et on veut tester sans plus attendre), une Hemerocallis, pas trop décevante …

 

… je me suis tourné vers ce qui avait inspiré Haring, le graffiti … (à vous de juger)

 

 

 

 

{Polaroid SLR680 / Film Impossible Project Color600}