Soyons positif … essayons le négatif !
Dans un précédent billet je vous narrais comment le sort s’était acharné sur moi en me « sucrant » mon stage de photographie argentique.
Connaîtrais-je un jour le plaisir de travailler dans le noir pour mettre à jour une photo ? Peut-être pas …
Mais, et il y a un mais, si j’ai redonné un peu de vie à mon vieux Pentax ME ce n’est pas pour le refourguer illico dans un placard. N’écoutant que mon courage je me suis donc précipité chez un photographe et, un peu gêné par l’incongruité de ma question , je lui ai demandé si, par hasard, la photographie argentique avait encore une petite place dans notre monde ? Un peu surpris, il m’annonça qu’il avait des films et qu’il s’occupait également du développement … Je lui achetai donc une bobine de pellicule 400 ASA (étant donné les conditions météo actuelles qui vous ferait douter de l’existence du soleil) en noir et blanc en m’assurant que la date de péremption de la dite pellicule n’était pas dépassée.
Me voilà donc avec un appareil prêt à shooter. On va voir ce que l’on va voir … à la façon ancienne : on shoote, on reshoote, 36 fois, on rebobine la pellicule, on la dépose pour le développement, on repasse quelques temps plus tard et enfin on contemple le résultat. On est loin du tout, tout de suite du numérique.
À suivre donc, shooting en cours …
Et photo prise en numérique … iPod et Camera+ ( camera, édition, cropping, cadre et texte ).
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