Depuis que j’ai découvert Hipstamatic, j’ai tendance à délaisser mes appareils plus « pros ». Shame on me, certainement. Je trouve certains combos pleins de charme, d’ambiance … ni trop, ni trop peu, impossible [1. Je parle de moi ] à recréer avec un logiciel d’édition.
Mon problème, quel que soit l’appareil utilisé, est que je joue beaucoup avec les réglages et qu’après avoir laissé s’installer un désordre total dans les paramètres (trial, trial and more) j’oublie de revenir à ce qu’on pourrait appeler un réglage standard, par défaut. Après la tempête, systématiquement je laisse la mer démontée …
Évidemment, lorsqu’on constate a posteriori, qu’on a shooté avec des paramètres inadaptés et que les (beaux) moments (mal) saisis font définitivement partie d’un passé révolu … on râle. Oui, enfer et damnation !.
Ainsi, il y a quelques jours, je déambulais dans Bruxelles , nez en l’air, suivant à la trace le retour de Bonom, saisissant ici et là un instant [2. Gardant mon Canon 600 légèrement encombrant pour les fresques du sus-dit Bonom] avec Hipstamatic [3. De plus Hipstamatic a – défaut ou qualité ? – la particularité d’appliquer le filtre à la prise de photo sans sauvegarde de « l’original ». Il n’est donc pas possible de changer de combo (film+filtre+flash) sur la même photo. ]. Et ce n’est qu’à la fin de la journée je constatais que toutes mes photos étaient prises en résolution moyenne [3. Quant au Canon, la moitié des photos étaient prises à 1600 ISO, généreux, inutiles et légèrement destructeurs]. Oui, enfer et damnation !.
Au Mont des Arts …
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