Direction l’enfer … du jeu, s’entend, Macao , à une heure de Hong Kong en ferry rapide. Là aussi on est en Chine, sans y être … « un régime deux systèmes », et pourquoi pas plus si c’est utile. Pragmatique ?
Comme précédemment les procédures d’immigration/émigration sont réduites au minimum, quelques coups de tampon dans mon passeport et hop, on passe.
Le casino et le jeu en général ne m’attirant pas vraiment, le shoppping joaillerie itou, savourons un rapide survol [1. Une journée … ] du passé portugais de cette île.
Et effectivement du côté de la vieille ville (les bâtiments coloniaux et les maisons lépreuses, les azuleros, …) il y a un parfum de Lisbonne … hélas, « agrémenté » (« surmonté », « écrasé ») d’une grosse louche vaguement infecte de Las Vegas (je parle de ces copies pas conformes mais mégalomaniaques de je ne sais quels palais antiques ou futuristes mais assurément de très mauvais goût).
Heureusement, un pastels de nata (petits gâteaux sucrés fourrés d’une crème aux œufs) peut vous faire tout oublier et ronronner de plaisir …
Et puis il y a les parcs et les squares un peu à l’écart, fréquentés par les anciens recherchant calme et sérénité parmi fleurs, bambous, étangs … l’envers de l’enfer.
Macau vu d’en haut …
Sao Polo, vue de (la seule) face …
Les canons pointés sur les casinos … autodéfense
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