6 avril
D’abord débarquer de l’avion … Un aéroport, ici ou là, c’est un aéroport, du moins pour un touriste lambda qui ne se prend pas pour un vétéran de Latécoère.
Ensuite, rejoindre son hôtel. J’évite le taxi et le transport trop public qui risque, par mon ignorance des pratiques locales, de se transformer en galère. Donc opter pour un shuttle, qui dépose un nombre restreint de personnes dans leurs hôtels respectifs, petit (dé)tour apéritif de la ville en prime.
Propreté, verdoyance, larges espaces et circulation plus que fluide … taxis et belles et grosses voitures. La lecture du journal local m’éclairera un peu … une bonne affaire, une Audi A3, à 100.000€ … excusez du peu. Et, limite mauvais goût mais profondément symbolique, le petit cheval cabré et l’hommage à Lee Kuan Yue, récemment disparu, le grand homme politique qui a fait de Singapour, ce qu’elle est, une cité-état riche, florissante, libre, pacifique …
On est en Asie … les gens parlent haut et fort, sourient. Et on est à Singapour (un touriste plus sérieux que moi en parle – bien – ici) … les gens sont polis et généralement (spontanément) honnêtes …
Et comme ils ont généralement de l’argent, ils aiment le shopping …
Et ils parlent l’anglais … ouf. Sauf que c’est de l’anglais avec accent chinois. Enfin, je crois … ou du chinois avec l’accent anglais, le singlish. Allez savoir …
30°C … oui, il faut s’adapter et, spontanément, remonte du fond de ma valise un bermuda, tenue classique ici. Les pulls, eux, auront tendance à sédimenter 😉 Chers singapouriens, faudra supporter la vision de mes mollets de cycliste paresseux. Et pour les polas, 30°C … ils vont voir la vie en rose 🙁
Rigoleurs et même bruyants, nombreux, les mainates (mynah) , petits oiseaux noirs à bec jaune, sont partout (mes recherchent studieuses parlent de martins à ventre blanc … pourquoi pas). Selon la rumeur, il suffit de dire bonjour au piaf. Si il répond, c’est un mainate … faudra tester.
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