Poursuivons notre exploration … Le métro est le système sanguin d’une ville, idéal pour en atteindre tous les organes. Le métro japonais ne fait pas exception sauf que pour nous il est sûr (le japonais n’a guère tendance à visiter vos poches), propre (il ne détériore pas le matériel) et très, très fréquenté (le japonais n’enjambe pas les portiques et fait la queue patiemment)..
Après avoir « apprivoisé » notre station (Ikebukuro) – au premier essai il nous a fallu 15 minutes pour repérer la bonne sortie – il faut acheter une carte Suica (ou Pasmo) pour payer les trajets (mais aussi valable dans les taxis et pour de petits achats). En présentant la carte à l’entrée et à la sortie du métro, le décompte se fait … rapidement. Et la recharge est aisée aux bornes automatiques (anglais disponible).
Premier test … rejoindre Shibuya pour rencontrer Hachiko .
Ensuite Asakusa, son temple, ses boutiques à souvenirs (japon(i)aiseries plutôt moches mais, à l’image des cartres Suica, c’est vous qui allez « charger » les souvenirs de VOS souvenirs). Les japonaises aiment s’y promener et se faire photographier en costume traditionnel.
Toujours à Asakusa il ne faut pas manquer la « goutte d’or » ou la « crotte dorée », c’est selon, de Philippe Starck en bordure de la rivière Sumida.
Et les polas ? Je shoote ici et là … Je n’aime pas trop le scan de mon iPhone donc il faudra patienter. Quant aux munitions la chaîne Bic Camera (du moins à Ikebukuro) vend les films Impossible … du 10/2016 (pour SX70) apparemment stocké à température du magasin 🙁
Ensuite arrêt à Harajuku station (Shibuya)
l’avenue Omotesando (ou plutôt les petites rues avoisinantes)
et le parc Yoyogi (le temple y est bien emballé pour réfection … appel aux dons pour un nouveau toit en cuivre) sans cosplays (uniquement le we ?) …
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