Surprenants, ces « totems » assez majestueux qui s'alignent (jusqu'au 17 janvier 2016) rue Faidherbe à Lille dans le cadre des divers événements de Renaissance (voir aussi ce billet consacré à l'artiste coréen Choi Jeong Hwa ), la nouvelle édition de Lille-3000, transformant cette grande allée en rambla festive.
La rue Faidherbe prend des allures carnavalesques grâce aux 12 totems qui y sont présentés. Imposants vestiges du carnaval de Rio, ces totems pensés par le carnavalesco Fabio Ricardo, symbolisent les thèmes et mythes de l’histoire des Cariocas. (Renaissance-Lille)
Non, pas moyen d'y échapper … les traditionnels vœux qui vous engagent pour une année complète.
Ce n'est pas que je n'en ai rien à cirer, c'est plutôt le fait que j'ai l'impression de n'être pas entendu là-haut, là-bas, … ou ailleurs.
D'accord mes vœux manquent peut-être d'originalité mais souhaiter cordialement la santé (bonne, évidemment) et la prospérité avec par dessus (et avant) tout une bonne grosse couche de bonheur, me paraît acceptable, universel et de bon ton.
Alors, voir que les djihadistes pullulent, que les métastases se multiplient, que les icebergs fondent, que les restos du cœur jouent complets, qu'il n'y a pas de neige dans les alpes (bof …), que l’on annule les feux d’artifice, que le bleu marine, ou même le brun, se porte bien en politique, …
C'est vrai que tout ça c'est du macroscopique et que pour beaucoup (?) d'entre vous subsiste la volonté de voir en rose votre petit écosystème. Tant mieux …
Cette année, mes vœux ne changeront pas quant au contenu mais finis les souhaits, place aux injonctions. Oui, j'y ajouterai une teinte volontariste …
Bonne Année 2016 !!!!
C'est un ordre et ne discutez pas ! Et je compte faire un débriefing en décembre prochain. Rompez !
Et toi, là-bas, là-haut ou ailleurs, je t'ai à l'œil. Fais gaffe !
L'Instant Lab d'Impossible Project est un produit curieux, hybride, issu de la rencontre de deux mondes l'analogique et le digital.
Vous permettre de tenir en main, de toucher, de donner, d'échanger la photo bourrée de pixels immatériels obtenue avec votre smartphone, tel est l'objectif de l'Instant Lab. Qui sait … un jour du fond d'une boîte de chaussures planquée au fin fond du grenier ressortira le pola. Je doute qu'il en sera de même avec les giga-octets d'instants magiques figés sur un disque dur ou dans le cloud.
Au départ, même si je n'ai aucun préjugé pour le digital, que ce soit pour le streetart (photos sur @necDOT pour lesquelles j'utilise mon APN Sony), les photos de famille (généralement l'iPod), les instantanés de la vie (voir la section de #pola vs hipsta#), l'objet ne m'attirait pas vraiment … le prix y était pour beaucoup. Alors un prix soldé plus un voucher de fin d'année (sympa Impossible), plus un « mais que veux-tu comme cadeau ? » … me voilà avec un Impossible Lab Universal. J'espère qu'il va bien s'entendre avec mon iPod (je suis allergique au téléphone).
L'Instant Lab Universal fonctionne avec un grand nombre de smartphones (voir liste des appareils compatibles). Un support particulier pour les « anciens » iPhone et iPod est fourni (attention, la découpe ne tient pas compte de la coque et le risque d'un mauvais positionnement du smartphone n'est pas nul …). La boite contient un cable USB pour le rechargement de la batterie (oui, l'Instant Lab n'utilise pas les batteries incorporées dans le pack film. Dommage que ce cable ne puisse pas être rangé dans un compartiment incorporé), un couvercle de protection et une pochette souple pour ranger l'Instant Lab. Cerise sur le gâteau, un bon de réduction de 20% pour l'achat de films (l'Instant Lab peut utiliser les films SX70 ou 600) était joint à l'envoi.
L'objet, plastique noir, compact, est dans la digne lignée des « folding camera » (SX70, SLR680) de Polaroid, surtout dans le déploiement de la tour télescopique (mais plastique un peu « cheap »). Il est assez étrange par son design sobre et son utilisation assez rudimentaire (volet obturateur).
En suivant le mode d'emploi succinct fourni (un peu plus de détails ici) et après chargement, on lance l'application iOS ou Android sur le smartphone, on suit les informations et c'est parti …
Mon tout premier essai (Hautes Fagnes, variantes) brut. Mes impressions encore vagues se préciseront certainement dans un prochain billet …
… un pola classique avec le Polaroid SLR680 et un film TIP Impossible Project …
… la photo numérique avec mon iPod 5g …
… et le pola Instant Lab obtenu à partir de la photo digitale …
Clap de fin pour ce premier essai, concluant en première impression, et plus d'infos à venir …
Les temps sont ce qu'ils sont … bousculés. Et c'est dommage car noel est là … Hohohoho …
Je suppose que suite à une extension indésirée de leur récente pogonophobie nombre de gens en sont devenus paternatalophobe. Il y a barbu et barbu mais rappelons-le la barbe ne fait pas l'homme (hipster ou mollah) … ou la femme (encore moins).
Difficile donc de vous présenter des vœux de Noël sereins avec une illustration adéquate style sapin/boules/père noel sans risquer d'attiser de telles phobies. Et comme je ne peux vous garantir un soutien psychologique efficace je vais tenter de faire soft (et en Belgique, quand il s'agit de faire soft, discret on se rabat sur les chatons). Difficile … mais pas impossible …
… et quoi de plus adaptė aux circonstances festives qu'un petit pola avec de splendides <roulement de tambour> chats peints de Noël </roulement de tambour> …
{Polaroid SLR680 / Film TIP Color 600}
Les spécialistes en pogonophobie me feront peut-être remarquer que cette phobie concerne tous les poils, moustaches comprises et les chats en ont, de belles moustaches (sans compter tous les poils autour). Tant pis, on fera avec.
Un à un, les mois s’égrènent … la vie aussi. Et quand il y a vie, il y a mort et quand il y a mort il y a novembre (difficile de prévoir que novembre dans nos régions – mais pas que – serait noir, vraiment noir) … cimetière, marrons chauds, pomponnettes, ou … salle d’attente 🙁
{Polaroid SLR680 / Film Yellow600}
… mais pas que, heureusement (début de mois trompeur ?), … un pur soleil doré à souhait traversant le feuillage (Tournai) et une consultation populaire sur le look à donner au pont des trous après réaménagement pour le passage des péniches de plus grand gabarit …
Le 9, en octobre à Paris au quai 36, une œuvre de Dourone m’avait impressionné et ô surprise, Dourone est passé aussi à Neerpede. Mais où ai-je la tête ? Le SX70 Sonar est aussi un SX70 => il ne faut pas oublier d’ajouter un fifrelin de « darken » au risque de surexposer les photos (quelques photos ratées et un doute plane sur la fiabilité de la cellule). Dans le lot, un coup de chance comme ici …
{Polaroid SX70 Sonar AF / Film TIP SX70 Color}
Après un mois de cafouillage, de crash en crash (du moins pour mon iPod) Hipstamatic a bondi de la version 280 vers 300, 301, 302 (je ne l’ai pas vue passer) et 303. Calme, stabilité et … volupté sont de retour 🙂
Un petit Hipstamatic (bon, d’accord, l’hipstamatic qu’on peut éditer après coup, ce n’est plus vraiment de l’hipstamatic) pour l’occasion … chassez le pola il revient en catimini avec mon Dushechkin qui se précipite pour arracher le pola … et la frog tong 🙂
Et un vendredi 13, très … vendredi 13. De quoi devenir paraskevidékatriaphobe. Vous avez le coran et les ceintures d’explosifs … on vous les laisse. Nous on a notre mode de vie et on le garde. Alors, svp, allez vous faire exploser dans le désert. Loin, loin, loin et ne touchez pas à notre liberté.
Ensuite pluie, pluie … et vent. Faut dire que le cœur n’était plus soleil. Pas vraiment un temps pour les sorties et les polas.
Le 16, en direct de Chine (ou presque), une enveloppe brune et dedans mon certificat HSK 1 … fier 🙂 En route pour le niveau 2. En février ? Il va falloir booster les neurones avec 150 caractères supplémentaires …
… toujours la Butte aux Cailles, toujours Zabou (mais aussi Ojidjo) et toujours un pola² … faut-il croire que ces trois ingrédients me plaisent ? …
Une fin de mois froide, sombre et humide … trois (autres ingrédients) très peu prisés par les films Impossible SX70. Black friday aidant, une commande de Color600 chez Impossible.
Et des polas « en interne » … un week-end avec le Dushechkin qui a bien grandi depuis son apparition avec sa maman dans le trailer de la COP 21 (à 1min 06)
Novembre 2015, la France a eu chaud, la Belgique a eu chaud, la planète a et aura chaud et l’odeur de roussi n’est pas prête à se dissiper … Espérer ? … ou pas ?