Il m’arrive d’émerger d’une hibernation (mais peut-on vraiment parler d’hiver ?) pas vraiment consentie et de quitter mon village pour monter à la capitale … n’ayant pas trouvé de catamaran solaire et de voie navigable ad hoc je me suis contenté du train (ce billet est donc eco-certifié … quant à la mobilité aisée façon SNCB je reste dubitatif).
Mon objectif c’était l’expo Keith Haring au BoZar … une époque, un lieu, une musique, des gens
L’aller-retour étant une version un peu trop épurée de l’escapade urbaine, le soleil aidant, je permis à mes pieds de prendre le pouvoir et de me diriger là où ils le désiraient … béatement, je suivais.
Une dizaine de polas et quelques kilomètres plus loin … l’inventaire
La verrière de la Galerie Ravenstein avant d’accéder au BoZar …
… ne jamais essayer de forcer un SX70 sans lui offrir un minimum de lumière. Il risque de devenir flou …
Le Mont des Arts ensuite … vue sur Bruxelles.
Phlegm et … non … ceci n’est pas une pipe …
L’allée du Kaai … un graffiti mis à jour (et sa version 2015) 🙂
… pou-belles en bordure du canal …
… et retour Gare du Nord avec cette sublime fresque murale d’Etam-Cru/Sainer …
Ça faisait longtemps … une rue, une maison, un numéro …
Le 41 se niche à Bruxelles du côté de Saint-Gilles pas très loin du musée Horta … Horta ? Oui, l’art nouveau est assez bien représenté de ce côté là.
Le 41 en est un bel exemple (enfin, je crois) et si j’en crois la numérologie avec un 1 pour la nouveauté et un 4 pour la construction, le compte est bon 😉
1 itération du chiffre 4 : Le chiffre 4 (quatre) est le symbole du carré. Il représente la structuration, l’organisation, le travail et la construction …
1 itération du chiffre 1 : Le chiffre 1 (un) représente l’unicité, l’unique, un point de départ, un début. …
Jusqu’a preuve du contraire le qualificatif de nyctalope ne s’applique pas particulièrement au SX70 même modifié 600 … Et c’est pour cette raison que, généralement, mon SX70 est privé de sorties nocturnes.
Parfois on tente le coup et pour faire déglingo on se passe de flash. Et puis finalement c’est sympa.
Quelques lanternes – japonaises, indeed – à Kyoto du côté de Ponticho et à Tokyo, Ikebukuro …
Mr Young Men à Kyoto … et ses okonomiyaki … sorte d’omelette ou on ajoute tout et n’importe quoi (du pas identifiable) et au final … un régal
A Takamatsu, une librairie (?) …l’art du tsundoku …
et le tsundoku selon moi … (mais moi j’empile et je lis)
En 2010, un volcan islandais au nom imprononçable – l’Eyjafjallajökull … et vous, vous le prononcez comment ? – retardait de plusieurs jours mon retour du Japon au grand désarroi de mon boss qui, évidemment, ne pouvait se passer de moi. Cette année ce fut le tour du super typhon Hagibis. Alors que nous quittions Tokyo pour le sud du Japon, Hagibis frôlait les côtes et remontait vers le nord. Nous nous croisâmes donc sans trop d’effusions – ouf ! – et, sans regret aucun, nous ne fîmes pas plus amples connaissances.
C’est en train (imaginez un train propre, ponctuel, rapide et confortable. Difficile ? Normal au Japon … à condition d’y mettre le prix) que nous parcourûmes les 700kms séparant Tokyo et le port de Takamatsu … en Shinkansen
Le phare rouge (en verre rouge … exceptionnel paraît-il) … de jour … sur une jetée de 500m de long … appréciée par les marcheurs et les cyclistes
Sur le port, ces « quilles » intitulées Liminal Air -core- , faisant partie des multiples réalisations pour la triennale d’art de Setouchi …
Face à la mer (et même s’il ne s’agit que de la mer intérieure de Seto), il est permis de rêver à l’ailleurs, au loin …
Dernier billet tokyoïte … Vous pourriez vous dire avec raison « Et quoi, c’est ça Tokyo ? ». Il faut savoir que mes polas, il me semble l’avoir déjà dit, sont des instants cueillis au passage … l’oeil est attiré (allez savoir pourquoi …), le SX70 est prêt, la luminosité est bonne et je shoote. Ça vaudra (il faut attendre 15 mins avant de visualiser et on est déjà passé à autre chose) ce que ça vaut. Pas le droit à l’erreur … Ou plutôt si … errare humanisme est.
Les spots touristiques ayant déjà été photographiés maintes et maintes fois – et en mieux -, pourquoi y ajouter mes balbutiements polaroidesques. Je me contente de « fixer » le banal ou l’insolite …
… ou le streetart 🙂 Pour un amateur, Tokyo c’est la cata, la disette, le désert. Difficile d’imaginer un japonais, bombe à la main, investir un mur. Ça ne se fait pas. Point. Sauf que toute généralité implique une pincée d’exceptions … comme le Design Festa Gallery à Harajuku …
Privacy & Cookies: This site uses cookies. By continuing to use this website, you agree to their use.
To find out more, including how to control cookies, see here:
Politique relative aux cookies