Deuxième île sur notre todo list … sachant que todo n’a pour nous rien d’une injonction … une proposition alléchante tout au plus …
Les horaires des ferries et des bus sur l’ile (pour les vélos électriques … prière de se lever très, très tôt) et la crainte de se voir refuser le retour pour cause de bateau plein (un peu de parano … je le reconnais), il faudra choisir … sauter d’un spot à l’autre et privilégier l’extérieur a l’intérieur.
Un regret … ne pas avoir pu loger sur place à la Benesse House … Réservation très, très anticipée exigée.
Et pour les polas, c’est pas la joie. Stock de films plus que réduit (les packs achetés au Big Camera d’Ikebukuro n’ont pas vraiment supporté le stockage). Mon SX70 a souffert … un choc, un coin cassé … pas vraiment HS mais malade, fuites de lumière intempestives en prime. Shooting parcimonieux et risqué imposé !
J’aime les petits pois surtout si ils ont été mijotés par Yayoi Kusama …
Plages et toris (oui ratés … le charme indiscutable du pola)
Dans le billet précédent je vous contais l’arrivée venteuse (because typhon) au port Takamatsu.
Nos premiers pas nous dirigèrent vers le port, d’abord pour des raisons logistiques (en connaître un peu plus sur l’organisation – et la désorganisation due au typhon – des ferries, les horaires … et plus) et puis c’est beau un port … non ?
Surtout quand le soleil se couche sur la mer intérieure …
Les ferries restant à quai …
… le petit tortillard local sorte d’antithèse sereine au Shinkansen mène paisiblement vers un des spots incontournables de Takamatsu …
Il m’arrive d’émerger d’une hibernation (mais peut-on vraiment parler d’hiver ?) pas vraiment consentie et de quitter mon village pour monter à la capitale … n’ayant pas trouvé de catamaran solaire et de voie navigable ad hoc je me suis contenté du train (ce billet est donc eco-certifié … quant à la mobilité aisée façon SNCB je reste dubitatif).
Mon objectif c’était l’expo Keith Haring au BoZar … une époque, un lieu, une musique, des gens
L’aller-retour étant une version un peu trop épurée de l’escapade urbaine, le soleil aidant, je permis à mes pieds de prendre le pouvoir et de me diriger là où ils le désiraient … béatement, je suivais.
Une dizaine de polas et quelques kilomètres plus loin … l’inventaire
La verrière de la Galerie Ravenstein avant d’accéder au BoZar …
… ne jamais essayer de forcer un SX70 sans lui offrir un minimum de lumière. Il risque de devenir flou …
Le Mont des Arts ensuite … vue sur Bruxelles.
Phlegm et … non … ceci n’est pas une pipe …
L’allée du Kaai … un graffiti mis à jour (et sa version 2015) 🙂
… pou-belles en bordure du canal …
… et retour Gare du Nord avec cette sublime fresque murale d’Etam-Cru/Sainer …
Ça faisait longtemps … une rue, une maison, un numéro …
Le 41 se niche à Bruxelles du côté de Saint-Gilles pas très loin du musée Horta … Horta ? Oui, l’art nouveau est assez bien représenté de ce côté là.
Le 41 en est un bel exemple (enfin, je crois) et si j’en crois la numérologie avec un 1 pour la nouveauté et un 4 pour la construction, le compte est bon 😉
1 itération du chiffre 4 : Le chiffre 4 (quatre) est le symbole du carré. Il représente la structuration, l’organisation, le travail et la construction …
1 itération du chiffre 1 : Le chiffre 1 (un) représente l’unicité, l’unique, un point de départ, un début. …