Le navire est sublime et l’envie de lever les voiles (douze selon les concepteurs) est grande. Pas sûr que la navigation d’un tel mastodonte sera aisée mais sa légèreté apparente (une descente au cœur de la structure de la structure métallique et le point de vue s’inverse) laisse augurer d’un voyage rêvé, entre ciel et mer …
C’est la Fondation Louis Vuitton et de son architecture emblématique due à Franck Gehry …
Quelques polas sous un ciel gris …
… avec au loin les falaises de La Défense …
… mais pas que …
Et cette exposition (jusque fin février 2023) où se côtoient les œuvres de Claude Monet et de Joan Mitchell. Nymphéas, hémérocalles ou agapanthes … inspirés de Monet, quelques polas personnels …
Oui, l’hiver s’approche … à petits pas discrets. Et petit à petit on rajoute une couche vestimentaire après l’autre … strip-tease à rebours en quelques sortes.
C’était à Lille, en début d’octobre, du soleil , une sorte d’été indien tardif mais apprécié. Le soleil donne, comme aurait dit Voulzy, … ses derniers photons estivaux (ceux qui vous réchauffent les os). Mais avec retenue …
Dans le désordre, les moss people de Kil Simonsson de la rue Faidherbe, rêverie au bord de la Deule, le Vieux Lille ou encore quelques œuvres pariétales (elles se font rares …) comme La Dactylo …
Devant vous le soleil fait son majestueux … le petit coucher de monseigneur se transforme en superproduction, un blockbuster en puissance à condition que les nuages ne viennent pas jouer les gâte-sauces …
Et puis, dans votre dos, dans les vitrines des galeries d’art, des silhouettes prennent vie et s’enflamment.
Le coucher de soleil j’aime et le pola aussi … ça va (aussi) sans le dire. Quoique … le couple Polaroid-SX70 étant capricieux, facétieux, et plus encore tout est possible avec en bout de course surprise, déception, émotion, wowww qui décoiffe.
Ce que j’aime au coucher de soleil c’est qu’il ne risque pas de perturber mon réveil toujours un peu tardif et longuet … 3 tasses de café noir, sirotées rêveusement.
Les couchers de soleil suivants, encore tout frais (août 2022), ont été saisis à la côte belge … mais je doute que le soleil s’arrête à ce détail quant il est question de passer à une autre hémisphère.
Ce jour-là, soleil doré et froidure automnale, un déclic … la villa Cavrois (C’est ici si votre curiosité est émoustillée) à un peu plus ( mais pas beaucoup) de deux pas de chez moi. Une façon de mixer découverte et polaroid.
Deux packs de pola, une réservation internet (heureusement car le couperet de la jauge sanitaire laissa sur le seuil quelques visiteurs imprévoyants) dans le sac et une lumière en parfait accord avec la rouille des feuilles hésitant (un doute m’étreint … participe présent invariable ou adjectif verbal ?????) encore entre l’arbre et le sol … que vouloir de plus …
Hélas, mon SX70 était dans un de ses mauvais jours. Allez savoir pourquoi, il était bougon … ou facétieux, façon tatie Daniele. Une photo sur deux se révéla surexposée. Un défaut du pola est son temps de développement (15-20 minutes) qui vous empêche de juger sur le vif la photo que vous venez de prendre et c’est à posteriori que vous constatez le gâchis … ou la réussite. Ce fut le cas ce jour-là et le fait qu’une photo sur 2, presque aléatoirement (surtout en extérieur, soit surexposée m’empêche de rejeter la faute sur le film ou sur une défaillance technique de l’appareil (éventuellement une cellule un tant soit peu balbutiante ?).
Ce fut donc une super visite doublée nappée (partiellement) de déception … (je guette la météo pour y retourner prochainement et convertir les ratés en précieux instants … à suivre ?).
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