Avec le mois commence l’année lunaire du tigre d’eau … il parait que l’eau a un effet adoucissant sur le caractère de la bête. Sera-ce un bien ? J’avoue que le buffle de métal ne m’avait guère convaincu. Qui vivra verra …
Le 2 … et hop, 3 polas dans le calendrier Photodarium 2023 … cool …
Le 8 … Lille, Mimi et quelques autres …
Le 11 … le Trou à Vaches ou le bout du tunnel ?
Soleil levant ou couchant … ombres et aveuglement …
Le 22 … Paris. Spot13, mais pas que …
Le 29 … ah, non, pas de 29. Un anniversaire en moins, une année gagnée sur le temps ? Pas sûr … septua(dé)génaire …
Reset des calendriers … une remise à zéro qui balaie le passé et ouvre le futur. Que sera-t-il ? Ce que nous (individuellement et collectivement) en feront sur la base de ce que nous avons fait auparavant (le passé, aussi poussiéreux soit-il, se balaie pas aussi aisément).
En janvier, je m’enfonce de plus en plus dans l’hibernation … le gris, le froid, l’humide, le sombre ne m’attirent guère et je reste fidèle à mon pot de miel.
L’hibernation n’étant pas très Polaroid, le mois, je le sens, sera aride …
Tellement aride que je ressors un de mes premiers polas … janvier 2013 et une sortie avec Mr B (Biquette l’a rejoint depuis). Même lui (je parle de Mr B) n’arrive pas à me convaincre de sortir d’hibernation …
Le 3 … un mien pola dans le calendrier Photodarium … j’aime bien cette statue (Blik van Licht par Charles Delporte à Damme, Belgique) … quoique … revoir le passé, scruter l’avenir, n’oublierait-elle pas le présent ?
Le 17 … et si on noircissait un œil de ce darumaroid ? Oui, mais pour quel voeux ?
Le 19 … nature morte, dormante ou …
Le 28 … un ciel bleu, du soleil … à Lille. Le beau temps craindrait-il de franchir la frontière ?
On y est … encore 31 jours et on pourra se débarrasser de 2021. Pas fâché … d’autant plus que 31 jours c’est suffisant pour nous laisser entrevoir une année 2022 avec un petit goût d’omicron …
Le 2 … Lille et l’expo « Au temps des Renarts » à l’hospice Comtesse … l’histoire lilloise revisitée par des graffeurs de talent. Là, Mimi tu pousses le bouchon trop loin …
Le 11 … au bouleau … un peu facile mais en période d’hibernation, l’effort est à noter. A deux pas de ma grotte un tronc d’arbre photogénique … quoique … ne voyez-vous pas ce lierre sournois qui rampant sur le long de l’écorce. Poison Ivy comme disent les anglo-saxons et comme le ressent mon organisme (plusieurs fois par an après avoir touché par mégarde – ou pas – je me retrouve avec plus ou moins de pustules suintants et gratouilleux) …
Le 14 … du pola at home … venue de Chine, une boite à lumière assez cheap est venue égayer une morne journée. Les barrettes de leds ne suffisant pas assurer, du moins pour un SX70 j’en ai ajouté une et voici (variations en macro +4) …
Le 15 … toujours at home et toujours dans le même ordre d’idée, variations avec lentilles Spectra (ici la lentille #105) …
Le 16 … Lille, un rdv chez Cyclable (entretien des e-brommies) et aussi un adieu à mon mur lillois préféré peint en 2015 pour la BIAM par Jana et JS …
Le 21 … après le bouleau, le sumac (enfin, je crois)
Le 25 … et oui Noel
Pluie et vent … pas folichon.
Et le 31 … changement de calendrier. A nous 2022, tous les espoirs sont permis … ou pas.
Le problème, c’est qu’elles se suivent et qu’à partir d’un certain âge on préférait que la fuite du temps soit un chouïa moins effrénée. Mais bon, qu’y faire …
Et c’est ainsi que pas plus tard que bientôt le compteur des années va s’incrémenter et qu’il va falloir changer de calendrier. 2022, va falloir s’y faire … (j’aurais aimé connaître 2222 … ces 2 qui se pavanent à la manière de cygnes sur un étang).
J’aimerais qu’en 2022 les bouches se dévoilent, les seringues regagnent leurs placards et que les cotons-tiges (pluriel de coton-tige ????) désertent nos narines … on verra.
De peur d’être déçu restons dans le vague et déplaçons avec doigté le curseur belle et le curseur bonne … excès va souvent de paire avec déception
On y est et … ça sent le sapin. On hésiterait … est-ce le super Nordmann bourré de boules éblouissantes ou ce tout petit virus tellement discret qu’il se fait appeler omicron ?
Le 24 décembre on devrait se retrouver ensemble (un peu, beaucoup ou pas du tout … liberté chérie. En 2020 on parlait de bulles – familiales, s’entend – et cette année les bulles seront plutôt champenoises, ouf) autour d’huîtres , de foie gras, de bûches glacées ou de tofu saupoudré délicatement de graines de chia (c’est selon … liberté chérie). En apéro, et ça c’est nouveau, l’auto-test sera très prisé cette année. Musicalement vous aurez le choix entre Maria Carey, Tino Rossi … bof, bof … ou le War is Over de Yoko Ono (de nouveau, c’est selon).
Ensuite, suivant le nombre de convives les discussions pourraient s’annoncer chaleureuses ou bouillantes … il y aura des mots à éviter absolument pour éviter tout dérapage incontrôlé.
Il fut un temps où on attendait les douze coups de minuit pour la messe et … surtout le vin chaud. Mais ça c’était avant …
Ce n’est qu’un moment à passer, après la vie reprendra (et la mort aussi hélas).
Voilà, c’est Noël et je vous souhaite cette fête la plus heureuse possible
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