Averses de grêle et bourrasques de vent … pas sûr que ma glycine qui resplendissait (flamboyait ?) sous le soleil les jours précédents, conservera longtemps cette prestance . Ainsi vont les saisons, le temps, la vie …
Avant la bourrasque, un instantané d’avant le pola 😉 par Basho …
Deux fois par an, elle revient … et à chaque fois revient aussi le questionnement existentiel du choix des polas …
Le choix se complique par le fait que les polas doivent être inédits. Il faut donc avoir une petite provision de polas non publiés (il y en a … là, piaffant d’impatience devant le scanner ) et publiables (la subjectivité de ce critère me permet le tout et le n’importe quoi 😉 ).
Et si ma « production » vous paraît hétéroclite, c’est normal … Je ne construis pas mes polas, plus documentaires qu’esthétiques (ou artistiques, c’est selon …), je les rencontre. A l’image de la vie, les instant(ané)s se suivent et ne se ressemblent pas.
Au menu …
Jour #1 … deux polas façon « hanami » pour bien débuter la semaine …
Jour #2 … la passerelle (Paris) …
Jour #3 … soleil, sable et ombre … c’est quand l’été ?
Jour #4 … non publiés ne signifiant pas récents, et publiables n’excluant pas la fantaisie aléatoire de la chimie polaroïdesque … il y a un an en Birmanie, ce qui aurait dû être un coucher de soleil sur le fleuve Irrawaddy à Bagan …
Jour #5 … puis-je faire l’impasse sur le streetart ? Non, évidemment … dans les rues d’Athènes ce doux regard (merci Ecloz) …
Jour #6 … la marée se retire, la semaine du pola s’achève … pour moi, pas vraiment …
L’hiver a livré ses dernières batailles même si quelques escarmouches d’arrière-garde ne sont pas à exclure.
La sève monte, botaniquement parlant évidemment 😉 , et comme les japonais qui vivent avec intensité le hanami, j’avoue éprouver beaucoup de plaisir à m’extraire d’une semi-hibernation …
Hanami, ce sont les cerisiers … du Japon mais pas que …
Dans une autre gamme de ton … les jacinthes et particulièrement à côté de Bruxelles au bois de Hal où le tapis bleu est à son apogée (fin avril) …
Poursuivons notre parcours numérologique … le 4, ça vous dit ?
En Asie, ce nombre n’est pas top … tant pis.
Tapant « numerologie 4 » sur Google par clavier interposé, la première occurrence qui me vînt fut
… Le 4 est pratique et terre-à-terre. Il est méthodique et organisé, systématique … (ici)
Mon 4 à moi, dans une petite ruelle étroite, accrochée à l’Acropole, avec son petit jardinet mêlant linges séchant, chats bien nourris, une petite chaise ayant bien vécu … aurait beaucoup de peine à représenter méthode et systématique. Terre à terre, je ne dis pas …
Et comme j’hesitais … une version pola² … 3 ou 4, encore une question de numéros …
Les photos en « individuel » sont évidemment visibles sur Flickr …
Et comme il n’y a pas que la rue Aretousas pour gravir l’Acropole …
Mars attaque … et les giboulées aussi. Vent, grêle et plus si affinité.
A propos d’affinité, un début du mois en mode baby-sitting aussi. Les articulations trinquent mais le cœur savoure … Par contre, c’est du full-time. Le pola faut oublier. Et comme la météo n’est pas vraiment pro-polaroid …
Et si je participais au mois du polaroid (en avril) ? Un appel à participation pour l’expo Polaroid in 30m3 à Rennes … oui, pourquoi pas ? Mais quel(s) pola(s) ? That’s the question ? Mes polas étant ce que je suis, le choix est dur … beaucoup sont nuls évidemment 😉 , aux yeux des autres du moins. Le pola documentaire, brut, n’est pas souvent apprécié par les « artistes » … tant pis. Alors, pour éviter un choix cornélien ou shakespearien, j’ai proposé la photo sélectionnée pour le calendrier photodarium 2020 … acceptée ! 🙂
Les 9 et 10 … un grenier (en fait deux) à vider. Des brols (excusez-moi chers lecteurs non-belges) évidemment et en quantité et des livres aussi en quantité et puis des boites (caisses, malles, …). Dans un grenier une caisse peut être un lieu de repli pour poussières, mites, acariens, ou plus … Ou alors c’est un réceptacle de souvenirs, d’instants de vie du temps de l’analogique, … du réel, du physique, du lourd, du volumineux. En somme le cloud d’antan … photos entassées (Qui ? Où ? Quand ? Pas sûr que ces questions trouveront réponses), magazines, carnets … flashs sur une vie qui déjà s’évapore dans le passé et qui, pour un instant, reprend consistance …
Le 16 … bref passage à Lille (manifs climat, gilets jaunes et Algérie … et à part ça « ça va ? ») et comme mon SX70 m’accompagne toujours … La BIAM 2019 s’éveille avec un premier mural des Tlacolulokos en cours … (temps très gris, maison folies de Moulins fermée … dur, dur) …
… mais aussi … Lady Alezia ou Violent Rabbit
Le 17 … le mot du jour « collapsologie » ☹️ Tant que ça ne reste qu’un mot …
Et pendant ce temps, les magnolias bernés par un soleil en avance sur le planning se retrouvent au prise avec un temps vraiment de saison … pluies, averses, bourrasques … (presqu’) effeuillés avant la floraison … où sont passées les saisons d’antan ?
Graffitis sur train, gares reloockées … permis, pas permis, avec ou sans la maréchaussée, pas vraiment le même job … mais du streetart toujours. Le 25 … la gare de Forest-Midi (Bruxelles) « revitalisée » (il suffit d’écouter les commentaires des passants) par Propaganza …
Le 27 … Athènes …
Acropole, semolina, acropole, halva, evzone, acropole … mais pas que et … des graffitis (beaucoup) aussi
Privacy & Cookies: This site uses cookies. By continuing to use this website, you agree to their use.
To find out more, including how to control cookies, see here:
Politique relative aux cookies