Une fresque murale, très bel hommage rendu par l’artiste Samuel Idmtal au photographe namurois Pierre Dandoy … ajoutons-y un photographe de rue (moi), quelques Polaroids à l’ancienne, touillons vigoureusement (ou pas) l’ensemble. Normalement, la quasi mise en abîme devrait prendre …
Et comme à chaque fois, l’extrême sensibilité du Polaroid traduit l’instant (température, luminosité, position du soleil) et le réinterprète de façon unique.
Pour l’occasion, j’avais emporté un Polaroid Land The Reporter (modèle plastique et grand public de la fin des années 70’) chargé avec un pack Fuji FP100C périmé (2018 ?) et le résultat reste surprenant …
Et pour finir, une double exposition avec l’Impossible Instant Lab …
Poursuivons l’effort … et persévérons dans les miscellanées.
Décembre, dernier mois de 2022 et retour dans le passé ( ou juste prolongation) … je parle de la guerre à deux pas, du manque d’énergie et des maladies (ce n’est plus la peste mais omicron juste un tantinet plus souriant). Heureusement, Noël est en vue.
La météo étant ce qu’elle est et doit être en hiver et le froid n’étant pas l’ami du pola ce mois de décembre polaroidesquement parlant sera calme, très calme …
Noël, c’est aussi un sapin … et qui dit sapin dit boules …
Le 21 … effectuant quelques rangements je retombe sur mon Impossible Lab qui après quelques (bons et vaguement loyaux) services était tombé en léthargie, refusant toute transfusion énergétique par voie usb. Pris par une subite inspiration, j’effectue quelques manipulations et après un pseudo massage cardiaque la loupiote rouge s’allume et … miracle il revient à la vie … enfin, je crois. Va falloir tester … (les photos ci-dessous)
Et l’année se termine avec la succession réveillonesque classique et traditionnelle. Tant qu’il y a des bulles …
Il y a plusieurs années je m’engageai dans une série de billets intitulée #miscelleanees#, une sorte de compte-rendu mensuel de mon activité publico-polaroidesque. Et puis vînt le Covid, une douce torpeur, une crise aiguë de procrastination, un scanner récalcitrant et le doux flot de #miscelleanees# se tarit. On pourrait ajouter la guerre à nos portes, la crise de l’énergie et un climat qui se dérègle … oui, le cœur n’y était plus trop. Et puis voilà, alors que l’hiver se rapproche et que mon instinct profond m’appellerait à hiberner, c’est plutôt l’envie de reprendre le cours des #miscelleanees# qui me reprend. Allez savoir pourquoi ?
Novembre s’achève et ce n’est pas le mois le plus inspirant (toujours polaroidement parlant … froidure et obscurité ne font pas le bonheur des pellicules instantanées).
Du côté végétation, quelques couleurs sympas apparaissent … profitons-en. Merci les anthocyanes (de temps en temps surgit quelques relents du passé).
Le gingko est aussi de la partie (mon gingko est un mâle et heureusement … les gingkos femelles donnent des amandes particulièrement malodorantes (gorgées d’acide butanoique au «délicat » parfum de beurre rance … encore un lointain avis marquant souvenir).
Le 2 … place aux décédés et retour vers le passé … avec un détour par Namur et ce très beau mural de Samuel Idmtal consacré au peintre namurois Pierre Dandoy … J’en profite pour ressortir un Polaroid The Reporter chargé d’un film périmé Fuji FP100C et belle surprise (de quoi maudire Fuji une fois de plus pour l’abandon de ces pellicules) …
Le 17, Paris … évidemment du streetart au Spot13 … … et à la Butte aux Cailles …
Louyz …
… et une superbe expo Monet à la Fondation Vuitton, un bâtiment sublime …
… des agapanthes, des hémérocalles (celles-ci sont miennes) et des nymphéas …
Le 24 venant de Chine après quelques péripéties logistiques et douanières, m’arrive un petit bidule curieux : un adaptateur pour utiliser les films Polaroid 600 dans un Polaroid de la famille Spectra (mis au chômage définitif par arrêt de la production de films adéquats). Premier test (bientot un billet consacré à ce dispositif) et petite déception … les coins supérieurs sont manquants
Novembre s’achève, les #miscelleanees# sont de retour (juskezakan ?), que vouloir de plus …
Le navire est sublime et l’envie de lever les voiles (douze selon les concepteurs) est grande. Pas sûr que la navigation d’un tel mastodonte sera aisée mais sa légèreté apparente (une descente au cœur de la structure de la structure métallique et le point de vue s’inverse) laisse augurer d’un voyage rêvé, entre ciel et mer …
C’est la Fondation Louis Vuitton et de son architecture emblématique due à Franck Gehry …
Quelques polas sous un ciel gris …
… avec au loin les falaises de La Défense …
… mais pas que …
Et cette exposition (jusque fin février 2023) où se côtoient les œuvres de Claude Monet et de Joan Mitchell. Nymphéas, hémérocalles ou agapanthes … inspirés de Monet, quelques polas personnels …
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