Graffiti d’aujourd’hui et vestiges de hier ou d’avant-hier, Athènes regorge de ressources … témoins d’une crise pas encore digérée et d’un passé prestigieux et vice-versa 😉
Au détour des petites rues, des façades lépreuses ou pas, dans l’ombre ou baigné de soleil, un doux sourire, un regard malicieux avait à plusieurs reprises attiré mon attention. Une signature … Ecloz … et une surprise, l’artiste était français et c’était en 2017 …
Poursuivons notre parcours numérologique … le 4, ça vous dit ?
En Asie, ce nombre n’est pas top … tant pis.
Tapant « numerologie 4 » sur Google par clavier interposé, la première occurrence qui me vînt fut
… Le 4 est pratique et terre-à-terre. Il est méthodique et organisé, systématique … (ici)
Mon 4 à moi, dans une petite ruelle étroite, accrochée à l’Acropole, avec son petit jardinet mêlant linges séchant, chats bien nourris, une petite chaise ayant bien vécu … aurait beaucoup de peine à représenter méthode et systématique. Terre à terre, je ne dis pas …
Et comme j’hesitais … une version pola² … 3 ou 4, encore une question de numéros …
Les photos en « individuel » sont évidemment visibles sur Flickr …
Et comme il n’y a pas que la rue Aretousas pour gravir l’Acropole …
Mars attaque … et les giboulées aussi. Vent, grêle et plus si affinité.
A propos d’affinité, un début du mois en mode baby-sitting aussi. Les articulations trinquent mais le cœur savoure … Par contre, c’est du full-time. Le pola faut oublier. Et comme la météo n’est pas vraiment pro-polaroid …
Et si je participais au mois du polaroid (en avril) ? Un appel à participation pour l’expo Polaroid in 30m3 à Rennes … oui, pourquoi pas ? Mais quel(s) pola(s) ? That’s the question ? Mes polas étant ce que je suis, le choix est dur … beaucoup sont nuls évidemment 😉 , aux yeux des autres du moins. Le pola documentaire, brut, n’est pas souvent apprécié par les « artistes » … tant pis. Alors, pour éviter un choix cornélien ou shakespearien, j’ai proposé la photo sélectionnée pour le calendrier photodarium 2020 … acceptée ! 🙂
Les 9 et 10 … un grenier (en fait deux) à vider. Des brols (excusez-moi chers lecteurs non-belges) évidemment et en quantité et des livres aussi en quantité et puis des boites (caisses, malles, …). Dans un grenier une caisse peut être un lieu de repli pour poussières, mites, acariens, ou plus … Ou alors c’est un réceptacle de souvenirs, d’instants de vie du temps de l’analogique, … du réel, du physique, du lourd, du volumineux. En somme le cloud d’antan … photos entassées (Qui ? Où ? Quand ? Pas sûr que ces questions trouveront réponses), magazines, carnets … flashs sur une vie qui déjà s’évapore dans le passé et qui, pour un instant, reprend consistance …
Le 16 … bref passage à Lille (manifs climat, gilets jaunes et Algérie … et à part ça « ça va ? ») et comme mon SX70 m’accompagne toujours … La BIAM 2019 s’éveille avec un premier mural des Tlacolulokos en cours … (temps très gris, maison folies de Moulins fermée … dur, dur) …
… mais aussi … Lady Alezia ou Violent Rabbit
Le 17 … le mot du jour « collapsologie » ☹️ Tant que ça ne reste qu’un mot …
Et pendant ce temps, les magnolias bernés par un soleil en avance sur le planning se retrouvent au prise avec un temps vraiment de saison … pluies, averses, bourrasques … (presqu’) effeuillés avant la floraison … où sont passées les saisons d’antan ?
Graffitis sur train, gares reloockées … permis, pas permis, avec ou sans la maréchaussée, pas vraiment le même job … mais du streetart toujours. Le 25 … la gare de Forest-Midi (Bruxelles) « revitalisée » (il suffit d’écouter les commentaires des passants) par Propaganza …
Le 27 … Athènes …
Acropole, semolina, acropole, halva, evzone, acropole … mais pas que et … des graffitis (beaucoup) aussi
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