Ça s’est passé les 14, 15 et 16 avril …
Le 14 … Sasha, 1 an 🙂 … un skype avant son départ matinal en crèche, et décalage horaire aidant, une journée « allégée ». Petit passage au temple, un bâton d’encens et une petite prière de Banoi … Quant à moi … prier ? Oui, mais qui ?
On est donc en plein Songkran et l’ambiance monte … tout Bangkok est dans la rue et quand je serais businessman, je vendrais des fusils à eau et je deviendrais riche, tres riche … à condition de les vendre ici. Par contre, je n’ose pas sortir mon SX70. A son âge il ne doit pas trop aimer l’eau …
Nous profitons de ces journées particulièrement actives pour les autochtones pour lever le pied … est-ce la chaleur ? Mais y aller mollo nous convient. Et puis j’ai un bouquin super « le puits des mémoires t1 » de Gabriel Katz. Non ce n’est pas de la littérature, juste de la SF fantasy et ça me convient parfaitement 😉
Le 15 … Ekkamai … et du streetart … oui, mais il faut le trouver. Le streetart c’est comme les champignons : ou vous connaissez les places (et même avec les noms de rues, ce n’est pas gagné) ou vous avez de la chance … ou pas. Et c’est plutôt mon cas 🙁 mais pas complètement : un surprenant Birdy Kids de 2014, un Berlusconi (mais que fait-il par ici ?) par ? , et quelques autres …
Et toujours Songkran … touché par surprise par une décharge glaciale … Aaaaaarrghhhh, je suis dissous …
Le 16 … le Wat Phra Kaew ou temple au bouddha d’émeraude … too much ! Ils en avaient du talent ces Khmers 😉 L’endroit est magique … oui mais voilà, il y a le tourisme de masse … masse de touristes. Et quels touristes … Non, Mao n’aurait jamais dû renvoyer dans les campagnes tout un peuple si raffiné. Les bonnes manières s’oublient 😉
Et même si Songkran n’est déjà plus qu’un souvenir, l’approximatif continue à régner dans les bateaux sur la Chao Phraya river. Un impératif … monter à bord (sans se laisser démonter par les cris du préposé) et ne pas se poser de question (si ce n’est la direction du bateau) … Et le prix ? Ça dépend du drapeau sur la proue du navire …
Et oui, quand le pied n’est pas vraiment marin et que l’horizon se laisse aller au tangage …