Le polaroid se prête bien aux compositions et «tyque», di, tri … et pourtant ça faisait longtemps que je n’avais plus fait de pola au carré.
Le destin de l’occasion étant de se faire sauter … bon, d’accord exprimée de cette façon, l’expression « sauter sur l’occasion » est assez malvenue mais, oui, l’occasion se présentant je ne l’ai pas négligée.
Donc, un passage à la Bibliothèque François Mitterand (en revenant du Lavomatik et du Spot13), un ciel nuageux avec quelques trouées azur, un soleil plus que discret, des tours aux parois vitrées … l’occasion quoi …
Oui, retour … et pourtant il y a retour quand il y a eu départ et je dois l’avouer ces 4 mois sans billets sont plutôt le résultat d’une somnolence incontrôlée plus qu’incontrôlable. D’aucuns parleraient aussi de procrastination … ou de scanner défaillant … qui sait ? Par contre la pile de polas, elle, n’a cessé de croître …
Reprenons en douceur … la mer, la plage, la jetée, le phare … un soleil et une chaleur à perturber la belle et sensible chimie polaroid … pastellisation rosâtre, pourrais-je dire.
J’ai publié un premier billet consacré à cette superbe villa art nouveau située à Croix près de Lille.
Lors d’une première visite quelques défaillances (techniques et humaines … question défaillances le SX70, les films polaroid et moi-même faisons la paire sinon le trio) avaient perturbé mon shooting. Quelques jours plus tard, les circonstances météo étant plus que favorables je décidai de remettre le couvert …
A tout seigneur tout honneur … la photo que je ne voulais pas rater …
30 ans … oui, d’après les spécialistes, la durée de vie d’un bouleau dans nos régions serait de 30 ans. Et il y a 30 ans, je plantais ce bouleau (et quelques congénères) en bordure de mon jardin. Sa fin serait-elle proche ?
Bouleau, je te confie un message : va dire au ciel que je le salue. (Sylvain Tesson, Dans les forêts de Sibérie)
Il est donc temps de le charger de cette noble mission … saluer le ciel … à défaut d’autre chose.
En attendant (prends ton temps cher bouleau) … quelques polas d’automne …
Il y a peu je me posais la question de savoir comment distinguer un marron d’une châtaigne …Mon chicouf de 7 ans me regarda surpris et me répondit que c’était simple … une histoire de bogues et de piquants, la châtaigne étant plus spécialement adaptée à une main de fakir …
Pour le reste entre le « marron n’est pas comestible » et la purée de marron, les marrons glacés et un mont-blanc j’ai tendance à bugger. En fait c’est simple, si votre marron fait partie de la famille des hippocastanacées et non des fagacées et bien, évitez-le ou ayez sous la main le numéro du centre anti-poisons.
Privacy & Cookies: This site uses cookies. By continuing to use this website, you agree to their use.
To find out more, including how to control cookies, see here:
Politique relative aux cookies