Le navire est sublime et l’envie de lever les voiles (douze selon les concepteurs) est grande. Pas sûr que la navigation d’un tel mastodonte sera aisée mais sa légèreté apparente (une descente au cœur de la structure de la structure métallique et le point de vue s’inverse) laisse augurer d’un voyage rêvé, entre ciel et mer …
C’est la Fondation Louis Vuitton et de son architecture emblématique due à Franck Gehry …
Quelques polas sous un ciel gris …
… avec au loin les falaises de La Défense …
… mais pas que …
Et cette exposition (jusque fin février 2023) où se côtoient les œuvres de Claude Monet et de Joan Mitchell. Nymphéas, hémérocalles ou agapanthes … inspirés de Monet, quelques polas personnels …
Quand un bâtiment emblématique reprend vie, ambitionne de s’intégrer dans la vie culturelle c’est … cool. C’est ainsi que l’ancien garage bruxellois Citroen-Yser – de l’espace, beaucoup d’espace, de larges surfaces vitrées – en partenariat avec le Centre Pompidou viendra dans quelques années, comme nouveau musée, prendre sa place dans la vie culturelle bruxelloise.
Au début des années 1930, André Citroën achète le terrain de la place de l’Yser. Un lieu idéal pour sa nouvelle usine automobile qui sera, pendant une longue période, la plus grande d’Europe. En collaboration avec l’architecte français Maurice-Jacques Ravazé, les architectes belges Alexis Dumont et Marcel Van Goethem dessinent un énorme complexe de 16.500 m², essentiellement constitué de verre, d’acier et de béton, qui entend correspondre à l’esprit moderniste de l’époque. Au cœur du bâtiment, un gigantesque hall des ateliers où étaient fabriquées les voitures, avant d’être exposées dans le showroom, à l’époque constitué d’un seul rez-de-chaussée. Après la Deuxième Guerre mondiale et l’occupation du bâtiment par l’armée allemande, le showroom fut subdivisé en plateaux supplémentaires pour augmenter les surfaces nécessaires aux activités du garage. (Website Kanal)
En attendant le début des travaux (juin 2019) le site a ouvert ses portes et accueille déjà le public … dans un environnement industrielo-urbex (je me comprends), on peut parcourir ces milliers de m² sur plusieurs niveaux parsemés d’œuvres (César, Tinguely, … merci Centre Pompidou) d’art brut, d’expériences artistiques surprenantes disséminées dans les ateliers de carrosserie, dans les vestiaires, …
Mes billets #miscelleanees# se construisent progressivement, jour après jour, instant après instant .. sur mon iPad. Quoi de plus volatil (je parle pour moi) qu'un souvenir ? Il paraît que le silicium est plus fiable. Vive le cloud 😉
Et puis, un jour, allez savoir pourquoi, pfuuuittt … un clic malencontreux, pagaille chez les électrons. Et votre billet « en construction » disparaît vous laissant seul avec votre mémoire. Au boulot, les neurones, va falloir reconstruire le passé … Le « que faisiez-vous le 18 novembre vers 16h30 ? », très peu pour moi et pas la peine d'utiliser la gègène. Le passé est vague … et plus il passe plus il vague …
Je me précipite sur ma boite de polas étiquetée « novembre » …
Donc … novembre … Trick or treat … pas mon truc. Toussaint. Et jour des morts … pas trop mon truc non plus mais plus traditionnel (La tradition s'imprime en vous à la façon d'un tatouage. Difficile de l'oublier). Et puis, se balader dans un cimetière sous un soleil de novembre c'est cool …
Le 11 … La gare du Vivier d'Oie à Uccle. Une sacrée bande d'artistes (Propaganza, Idmtal, Kintero, Orkez, Iota, Piet Rodriguez, … ) y est passée. À flâner, nez en l'air, on en oublierait les retards de la SNCB … De quoi écrire un billet « pola, format Integral » …
Mon Polaroid Spectra (utilisé pour les photos de famille) se met à bafouiller. Le pola va-t-il sortir ou non ? Et ça devient trop souvent non. Il me quitte pour le repair department de Polaroid Originals aux Pays-Bas. Diagnostic … moteur à remplacer … 50€ 🙁
Ensuite quelques jours à Bilbao … tant que le pays basque est encore dans l'Union Européenne et qu'il n'est pas nécessaire d'avoir un visa 😉 Pintxos et txakoli (mais aussi botxo, Artxanda, … et j'en passe. En basque le « tx » – prononcez « ch » – est roi) au programme … mais pas que …
… le Guggenheim de Gehry (avec une préférence pour la fondation Louis Vuitton) et une expo de portraits de David Hockney …
… La passerelle de Calatrava (oui, il ne fait pas que des gares en Wallonie) …
… La botxo baigné par la brume matinale …
… et pour le streetart, une bien maigre moisson …
Au retour, baby-sitting … Bonheur et mal de dos …
Et pour terminer le mois, les coccinelles sont de sortie …
Ai-je oublié quelque chose ? Peut-être … et même certainement, s'il n'a pas été « polaroidisé ».
C'est au bord du canal Charleroi-Bruxelles, sur le quai du Hainaut à Molenbeek (quand la no go zone médiatique devient une zone to go 😉 ) , dans les anciens bâtiments de la brasserie Belle-Vue, que va s'ouvrir ce musée aux objectifs pour le moins appétissants …
Le MIMA exposera un art où les domaines créatifs sont totalement décloisonnés: un mélange de cultures musicales (punk-rock, electro, hip hop, folk), graphiques (graphisme, illustration, design), sportives (skateboard, surf, sport extrême), artistiques (cinéma, art plastique, performance, BD, tatouage, stylisme), urbaines (graffiti, street art) et geek. Concrètement, le musée présentera des artistes qui, par le simple fait de ne pas s’exprimer uniquement dans la communauté de l’art contemporain, reflètent une nouvelle pensée. (ArtistikRezo)
Et pour commencer une exposition (du 24/03 au 28/08/2016) où devraient se côtoyer des oeuvres de Momo, Faile, Swoon (Wowww … j'y cours) et Maya Hayuk,
En prélude à l'inauguration et pour patienter (oui, je piaffe) quelques polas dormant dans mes cartons …
Le Nord c'est le … nord. Mais pas que … Oui, le soleil est une denrée pas toujours présente mais le nord de Bachelet, avec ses terrils, corons et tout le toutim, la caricature « pousse au suicide », ce n'est (plus) pas toujours ça …
Prenons par exemple une bonne et vieille piscine roubaisienne, plus tellement aux normes pour faire trempette mais avec des vitraux, des carrelages, … témoins d'une époque révolue (selon l'expression consacrée), on pourrait la démolir et la remplacer par un beau centre commercial parsemé de boutiques toutes plus originales et inattendues 😉 les unes que les autres … ou pas. Et, surprise, le « ou pas » a gagné … un musée ! Ouf … Et, sans vouloir minimiser les collections, le contenant vaut autant (si pas plus) le détour que le contenu …
Du bassin central subsiste désormais une lame d’eau, en hommage à la fonction première de La Piscine. L’endroit est sublimé par le portique de Sandier et la verrière colorée représentant le soleil. Un tout remarquablement restauré.
De chaque côté de la lame d’eau, sur les bords, admirez le jardin des sculptures.
Une collection qui rassemble notamment quatre figures d’Alfred Boucher (L’espérance, La Foi, La Tendresse et La Charité). Le lieu accueille aussi expositions, performances et défilés de modes.
Tout autour du bassin, les anciennes cabines de douche des baigneurs ont été reconverties en vitrines. Admirez notamment la remarquable collection de céramiques, composée de vases et statuettes de la Manufacture de Sèvres et de pièces signées Picasso ou Fernand Léger.
Au premier étage, retrouvez de riches collections textiles (depuis l’Antiquité jusqu’à la production française de 1835 à 1940) et d’accessoires. (Site web)
Et c'est donc, sous le soleil traversant les vitraux, que la piscine se couvre d'or en fusion …
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