17 novembre 2018 permalink
Un billet précédent était totalement dédié à cette nouvelle fresque roubaisienne de Jimmy Cochran (aka JimmyC), un portrait assez remarquable de Camille Claudel.
Deux autres fresques intéressantes, de styles très différents, sont apparues ces derniers mois …
la première, pleine de poésie, une collaboration entre Benjamin Duquenne et Nean …
La deuxième, le Crash Test Baby de Gutter Reaphe Sorka et Zuba du collectif Des Friches et des Lettres
6 novembre 2018 permalink
J’éprouve beaucoup de plaisir lorsqu’un pignon, une façade aveugle se voit accaparé par un artiste muraliste. L’austérité (qui a parlé de mornitude ?) urbaine combattue à coups de bombes pacifiques et colorées, ça me plaît.
Ainsi à Roubaix quelques nouvelles œuvres sont apparues dont un portrait de Camille Claudel à 20 ans par James Cochran assez surprenant quand on connaît le style (coloré, pointilliste, …) de cet artiste. Le résultat est à admirer à deux pas du musée La Piscine qui abrite quelques œuvres de la sculptrice …
Quelque variantes polaroidesques … avec un triptyque (polaroid SX70 modifié et films PO Color600) façon zoom (la dernière photo est obtenue avec le tele 1.5 #119A) …
Mais aussi en pack100 (Polaroid 250 et films Fuji FP100C) …
29 juillet 2018 permalink
A Paris dans le 13e, à l’initiative de la galerie Itinerrance, de la mairie, mais sûrement pas que … peu à peu les murs sur et autour de l’avenue Vincent Auriol ont accueilli les œuvres de grands du streetart.
Ces œuvres hauts perchées, parsèment l’avenue … il suffit de lever la tête et se régaler.
Par goût du partage, j’y ai entraîné mon Polaroid 330 avec quelques films Fuji FP-100C …
… un baiser façon D*Face …
… C215 et Shepard Fairey (très discret) …
… D*Face, encore lui mais on ne s’en lasse pas …
… Jana et JS, j’aime beaucoup …
A suivre …
25 avril 2018 permalink
Difficile d'ignorer une manifestation Streetart de la taille du Crystal Ship à Ostende. Depuis 3 ans, année après année plus d'une dizaine de « murs » (pignons, façades, … ) sont investis par des artistes du monde entier …
Un rayon de soleil, un vélo (très utile car les oeuvres sont assez dispersées) , le plan (disponible à l'office du tourisme ou en téléchargement, pas très lisible) et c'est parti.
Dans ce premier billet, du Polaroid 330 (film Fuji FP-100C), pas toujours pratique à manipuler (attendre 2 minutes, peler le film, se barbouiller les doigts de produits chimiques, ranger les clichés encore humides … sous les yeux d'un public parfois surpris) … dans le désordre …
… A Squid Called Sebastian …
… le Colectivo Licuardo …
… Dourone (le soleil ne se gêne pas … ombres et lumières parfois exacerbées) …
… 1010 …
… Eversiempre …
à suivre ici 😉
3 février 2018 permalink
Mais comment font-ils ? Une meteo juste bonne à faire sourire les nappes phréatiques et à doper les ventes de couettes 100% plumes de canard … les artistes, eux, n'hésitent pas à grimper sur leurs monte-charges (help ! Quel est le pluriel de monte-charge ?) et à braver les éléments pour apporter un rayon de soleil symbolique mais chaleureux aux passants pressés.
Ainsi, BenjAMIN Duquenne, NEAN, Rocket01 et quelques autres … se sont emparés d'un pignon roubaisien pour y apporter un délicieux message organique (nature, petit oiseau, … ça change du brouhaha médiatique). Rêvons , tant que c'est permis …
Mon Polaroid Land 240 et son petit frère SX70 (et son tele 1.5) y ont pris beaucoup de plaisir. Pour des raisons que j'ignore le pola 240 a fait la gueule (et même plus) pour les 4 premières photos … gâchées de chez gâchées. Et puis, la délicieuse fresque a fait effet … apaisant …