« Certains peintres transforment le soleil en un point jaune ; d’autres transforment un point jaune en soleil. » Pablo Picasso
Le ciel … bleu. Le soleil … jaune. Le gazon … vert. Évidences ?
Un diptyque (SX70 Sonar Auto-Focus, film PX680 CP, filtre ND) ensoleillé …La pellicule Impossible Project, elle, est sans évidences. Tout est sujet à interprétation chromatique. Chaque shoot est source d'impatience (d'un grand bleu au sortir de l'appareil, la photo mettra une petite heure pour lever ses nombreuses inhibitions chimiques et oser se montrer) et de surprise. Tant mieux.
Qui voit la figure humaine correctement ? Le photographe, le miroir ou le peintre ? Pablo Picasso
That's the question ? La réponse, je ne l'ai pas même si j'estime que la « vision correcte » n'existe pas. Quoi de plus subjectif ? Entre le capteur et le cerveau, que de filtres !
Dans l'atelier du peintre [1. Pas moi … non, non], deux polas (polaroid SX70 Sonar AF, film Impossible Project PX680 CP avec flash MintBar) que je trouve plaisants
Lille, au couteau … et au pola
Et pour finir une photo avec le polaroid 240, rescapée [2. J'ai évoqué le problème des photos qui refusent de se laisser extirper de l'appareil] du premier film. Agréablement surpris de cette photo prise en intérieur, sans flash, molette réglée sur lighten maximum avec le film couleur Fuji FP-100C (75 ASA) … belle ambiance, netteté, … ça change des films Impossible Project.