… mieux vaut chausser des bottes ou des raquettes 😉
Restent les graffitis et pour moi c’est tout bon.
Quoique … non, je ne reviendrais pas sur la mélopée du pola et frimas …
25 mars 2019 0 commentaire permalink
… mieux vaut chausser des bottes ou des raquettes 😉
Restent les graffitis et pour moi c’est tout bon.
Quoique … non, je ne reviendrais pas sur la mélopée du pola et frimas …
14 mars 2019 3 commentaires permalink
Ainsi fond, fond, fond … la neige. Trop timide à mon goût, un petit tour et elle s’en va …
Le 1 … Wazemmes … quelques graffitis et des polas hivernaux …
Le 3 … brunch familial à la Tricoterie (Saint-Gilles, Bruxelles) … sur la route … La Vieille Chechette et deux graff, Mawda par Ler Art et Semira Adamu par Dake25 … il serait si simple d’accueillir (un peu de) la misère du monde …
Le 11 … Lille et le passage des Trois-Anguilles …
Le 14 et le 15 … Jef Aérosol a semé quelque pépites dans les faubourgs lillois. Le tout est de les trouver 😉 Donc, le 14, profitant du soleil et d’une parenthèse temporelle, je me dirige vers Marquette-lez-Lille (gloire soit rendue au GPS) … au programme Joni Mitchell et quelques autres …
Le soir, rentré chez moi, je découvre que ce même Aérosol avait commis un Neil Young à deux pas de là … aaughhh, m’écriai-je. Un tel méfait pouvait-il être ignoré ? Et donc le 15, même soleil, même faille non spatio mais cependant temporelle et je me retrouve sur les lieux du crime …
Du 17 au 20 … Paris … 13e évidemment … le dimanche, le carnaval chinois, enfin je crois. Quand plusieurs couches de spectateurs épaisses, opaques, font obstacle entre vous et le supposé spectacle soit vous laissez votre imagination au commande soit vous prenez la fuite … et préférez faire étape au musée des arts primitifs du quai Branly … bambou tressé et vous déstressé 😉 . En chemin, difficile de l’ignorer …
Le graff est social … ou pas …
Le 27 … Gare de Halle et quelques belles bêtes …
… puis Bruxelles … quelques tours et détours sous un soleil pas vraiment de saison
Le 29 … faille temporelle où s’incrémente mon compteur vital. Anniversaire virtuel mais combien réel 😉
5 mars 2019 0 commentaire permalink
En février, Jef Aérosol a semé quelque pépites dans les faubourgs lillois. Le tout était de les trouver 😉
Le 14, profitant du soleil et d’une parenthèse temporelle, je me dirige vers Marquette-lez-Lille (gloire soit rendue au GPS) … au programme Joni Mitchell, R. L. Burnside, Clarence Clemons, Johnny Cash, le Little drummer boy, Chet Baker, le père Zim Zim et ce bon Ludwig Van (aka roll over Beethoven) et un chat (oui, le chat est à Jef Aérosol ce que le ration-laveur est à Prévert).
Un music-band éclectique mais pas inintéressant …
27 février 2019 1 commentaire permalink
La Tour Eiffel c’est pour moi un, un peu comme l’Atomium, un monument emblématique qui, inévitablement, attire toujours mon attention mais rarement mes pas. Ai-je déjà testé ses ascenseurs ou ses escaliers, je n’en ai pas le souvenir … plus par agoraphobie que par crainte du vide.
Difficile de l’éviter, lorsque vous désirez joindre le musée du Quai Branly et la Maison du Japon (il est des moments où l’appel de l’estomac et l’envie d’un onigiri sankakukei sont irrépressibles). Et vous passez devant ce qui parait être un aquarium géant vide de poissons – logique, il n’y a pas d’eau – mais plein de touristes … sécurité oblige mais que c’est laid ! Et vous levez la tête … oui, c’est bien elle … majestueuse, baignée par un soleil d’hiver.
Il m’arrive d’imaginer que, voyant ce gigantesque squelette d’acier, Hergé l’aurait revêtu d’un pyjama à carreaux rouge et blanc avec la lune pour objectif …
16 février 2019 2 commentaires permalink
Il est de ces lieux oubliés par le temps … comme cet étroit (1,2m) passage long d’une centaine de mètres au cœur de Lille (il relie la rue Négrier à la rue Voltaire).
Bordé de hauts murs en briques percés de quelques portes, agrémentés de quelques graffiti, il permet effectivement le croisement simultané de trois anguilles (pourquoi trois ? Et combien dans chaque sens ?) nyctalopes, contorsionnistes et visqueuses (ce qui facilite le croisement).
L’emprunter c’est pénétrer dans un trou de ver spatio-temporel à l’issue indéterminée … du moins si on a l’imagination baladeuse 😉
La sortie est brutale … oui, on est toujours dans la nord. C’est aussi risquer, la nuit, de rencontrer des détrousseurs d’étroits passages plutôt que de grands chemins. D’accord c’est pas pire que le prélèvement à la source …
Un coupe-gorge qui inspira Marc le Piouff pour son roman policier éponyme (Vous ne l’avez pas lu ? Moi non plus) .
Curieux, j’ai cherché le pourquoi du « trois anguilles » et … je n’ai pas trouvé. Par contre, erreur symptomatique, le web le renomme parfois en « trois aiguilles » … étant donné la taille du châs, pourquoi pas ?
A un peu plus de 2 pas de là, Zacharie Bodson propose dans son délire Nicholsonien une laitière anonyme …
… Mr Voul …