La deuxième vague arrive, est là … et Trump est lui aussi toujours là. Entre virus c’est normal. Lequel nous quittera en premier ?
Le 1 … Bruxelles … gris, bruine et de temps en temps un pola, sombre comme la météo …
Le 8 … Bruxelles … encore … babysitting (les chicoufs c’est notre bulle sanitaire et joyeuse) et déambulations polaroidesques … que du bonheur évidemment …
Le 15 … vaccin … anti grippe … pour le Covid-19 soyons patients.
Le 16 … le rendez-vous à Lille était pris depuis 2 mois … Mr B. (mon petit vélo) va se faire refaire une beauté … pneus, freins, réglages et plus … la totale. Et même plus … gros craquage … un Brompton électrique. En attendant, quelques œuvres murales à l’universite Lille II …
Le 17 … petit colis de chez Supersense : quelques films de One Instant Pack Films … de quoi préserver mon pola 250 de la diète stricte et définitive imposée par Fuji …
Le 18 … Polaroid Week d’automne … intimidé de trouver ses banals petits polas au milieu de petits chefs-d’œuvre …
Le 26 … un rayon de soleil et c’est parti. Direction le moulin de Thimougies tout fraîchement et admirablement restauré avec trois (mono)pack de films OneInstant (ce qui nous reste en pack100 après l’abandon de Fuji) et, évidemment, un SX70 (ça aurait pu être mieux si je n’avais pas oublié un pack de film) …
Test nocturne … trépied et câble de déclenchement. Ça marche …
Fin du mois et retour probable du confinement. Une fois ça va. La deuxième c’est moins cool … À part ça, les cucurbitacées sont de sortie …
une triste histoire … si l’on en croit Wikipedia …
Le moulin du village fut construit au début du xvie siècle. Il fut détruit une première fois en 1606 puis remis sur pied et renversé une seconde fois en 1782 par un ouragan. Il revit le jour 7 ans plus tard. D’abord utilisé comme moulin à farine, il servit ensuite de poste d’observation lors de la première guerre mondiale en raison de son excellente situation géographique, il se situe en effet sur une colline de 90 mètres d’altitude. À la suite de la guerre, il reprit sa première fonction. Laissé à l’abandon pendant plusieurs années il fut restauré en 1943. Classé au patrimoine Wallon, le moulin à vent fut détruit par une rafale de vent le 10 janvier 2008. (Wikipedia)
Heureusement ce bon Wikipedia peut avoir des lacunes et ignorer que depuis quelques mois le moulin entièrement restauré trône de nouveau sur sa colline et, entièrement fonctionnel, s’est remis à moudre le grain …
Quelques photos avec le OneInstant PackFilm de Supersense (et oui, ce n’est pas du numérique … artisanal, expérimental … qui fait revivre votre vieux Polaroid Land condamné à l’oubli par Fuji) …
Deuxième (printemps et automne) semaine pola 2020 … et comme à chaque fois il faut choisir chaque jour 2 photos non publiées. Sélectionner … dur, dur. Choisir ça seraitrenoncer, pas faux. C’est aussi éliminer, rejeter … pas cool ça. Et donc, à chaque fois je sens en moi le doute s’immiscer 😉
En 2019, c’était du Japon que j’avais publié ma sélection … je commencerai donc par 2 photos prises à cette époque (et non encore publiées indeed) … A Uji, le temple Byodo In et au bord de la rivière Uji …
Jour #2 … dandelion (c’est plus doux que pissenlit … non ?) …
Jour #3 … un cheval …
Jour #4 … « playing with things » , évasions polaroidesques, solar system ou fantaisies cosmiques …
Jour #5 … scruter le ciel (Damme) …
Jour #6 … un peu de streetaroid (Boulogne-sur-Mer) pour finir en beauté
En conclusion cette impression de shooter tous azimuts, un manque de cohésion, une dispersion créatrice (ou pas), … mixons le tout et retirons-en un maximum de plaisir …
Suivant ses vertus diurétiques (et apparemment nocturnes) ou la forme agressive en « dents de lion » de ses feuilles on nommera cette plante pissenlit ou dents-de-lion (dandelion) …
Cette plante à la floraison banale acquiert légèreté à la maturation. Qui, à l’image de la « madame » du Larousse, n’a pas pris plaisir à souffler sur la plante et disperser la centaine de petits parachutes (lire en fin du billet un extrait de Wikipedia … entre hard-science et poésie surréaliste) ?
En pola muni de la lentille closeup c’est pas mal non plus (c’est mon avis et je le partage) …
L’observation des akènes dans une soufflerie verticale a permis d’identifier un phénomène de mécanique des fluides original concernant l’aigrette du pissenlit. Ce pappus poreux contient de 90 à 110 filaments (en dehors de cette plage, le phénomène ne s’observe pas). Sa géométrie et la répartition des filaments créent une bulle d’air stable en forme de vortex toroïdal (en) (vortex en forme d’anneau comme le rond de fumée de cigarette) détaché du corps de la graine. Cette bulle forme une zone de basse pression qui tire l’akène vers le haut et lui permet de profiter de courants ascendants pour être disséminé sur des distances pouvant atteindre facilement 10 km. Si les courants aériens sont favorables, le pappus permet une dispersion transocéanique des graines par le vent, ce qui favorise la spéciation allopatrique. (Wikipedia)
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