Le nombre de mes ratés noir et blanc avec film Impossible Project pourrait aisement figurer dans le Guiness Book … et quand le pola était potable, son virage sepia lui, l'était moins 😉
Et c'est ainsi que le noir et blanc et moi, il faut le reconnaître, nous n'étions guère amis.
Et puis la chimie d'Impossible s'est améliorée … du 2.0 (le « point zero » , ça craint) …. temps de développement qui, pour de l'instantané, devenait presque … instantané, contrastes très (trop ?) puissants, piqué plus que valable, des tons moyens encore discrets (Rome ne s'est pas faite en un jour), … Il fallait réessayer !
Et, par une journée bien ensoleillée, un film BW600 2.0 dans un SLR680, un cran vers darken (pour éviter la surexposition au risque d'avoir des noirs … trop noirs … ça se discute) dans un jardin d'avril … cerisier du Japon, magnolia, jacinthe des bois ou muguet bleu, et prunus …