Un mur, un pignon peut être nu, donc triste, ou bien, investi par un artiste, il devient porteur de couleurs, de vie, de bonheur … enfin, c’est mon avis que je partage à 100%.
Donc, quand le confinement s’assouplit, quand l’espace vital déborde les 10 kms autorisés, alors je me précipite. C’était lors d’une escapade biarrote (j’aime bien ce mot) , juste quelques jours. A 30 mins en bus (c’est relax et écolo … surtout avec ces bus de la ligne T1 et la gentillesse des « locaux » qui entrent et sortent du bus en saluant et remerciant la compagnie … les biarrots sont-ils français ?) … Bayonne.
Malgré la météo menaçante je me lance sur le parcours streetart assez prometteur (oui, vite, vite avant la pluie … ). Grand bien me prend car le parcours devra être interrompu par un crachin tout gris guère apprécié par mon pola.
Au tableau de chasse …
RNST …
… MonkeyBird …
… Ella et Pitr …
… NeverCrew …
et une boîte au lettre façon C215 …
Quant à Biarritz, le streetart n’est guère à l’ordre du jour. Il y avait bien l’expo Colorama, que du bleu en intérieur (sans flash que peut un SX70 ?) et 2 jours après mon départ une expo Jef Aerosol (arghhh …)