En 2010, un volcan islandais au nom imprononçable – l’Eyjafjallajökull … et vous, vous le prononcez comment ? – retardait de plusieurs jours mon retour du Japon au grand désarroi de mon boss qui, évidemment, ne pouvait se passer de moi. Cette année ce fut le tour du super typhon Hagibis. Alors que nous quittions Tokyo pour le sud du Japon, Hagibis frôlait les côtes et remontait vers le nord. Nous nous croisâmes donc sans trop d’effusions – ouf ! – et, sans regret aucun, nous ne fîmes pas plus amples connaissances.
C’est en train (imaginez un train propre, ponctuel, rapide et confortable. Difficile ? Normal au Japon … à condition d’y mettre le prix) que nous parcourûmes les 700kms séparant Tokyo et le port de Takamatsu … en Shinkansen
Le phare rouge (en verre rouge … exceptionnel paraît-il) … de jour … sur une jetée de 500m de long … appréciée par les marcheurs et les cyclistes
Sur le port, ces « quilles » intitulées Liminal Air -core- , faisant partie des multiples réalisations pour la triennale d’art de Setouchi …
Face à la mer (et même s’il ne s’agit que de la mer intérieure de Seto), il est permis de rêver à l’ailleurs, au loin …