19 août 2013 permalink
L'Office du Tourisme de Lille a édité en juillet (2013) un petit dépliant (téléchargeable ici … mais trop petit donc illisible. Mieux vaut l’original, passez par l’Office du Tourisme 😉 ) gratuit incitant le quidam intéressé à parcourir les rues de Lille à la rencontre de l'art moderne ou du street art. Ces deux parcours pouvant se faire à vélo, j'ai profité d'un dimanche récent (la ville est d'autant plus belle que les voitures sont à l'arrêt) pour emmener Mr B (mon vélo pliant) se dérouiller les rayons.
Après une succession ininterrompue de dimanches et de jours ordinaires tous plus ensoleillés les uns que les autres, « mon » dimanche fut nuageux et agrémenté de quelques petites pluies de courte durée mais … réellement humides 😉 . Ainsi va la vie et la meteo aussi. Je dus donc adapter mon itinéraire et sacrifier certains spots déjà vus ou trop éloignés. Avec Wazemmes, Moulin, Faubourg de Béthune, … il y avait déjà de quoi se régaler (et profiter du marché dominical de Wazemmes, typique, vivant, …) … une quinzaine de kilomètres en un peu plus de 3 heures, en comptant les nombreux arrêts photo et « abri au sec » …
Le défaut du parcours est qu'en voulant relier toutes les fresques lilloises réparties sur l'ensemble de la ville il en devient assez « sinueux » (à l'horizontal) et alambiqué (peu cohérent, avouons-le) et ne nous entraîne pas nécessairement sur les artères les plus agréables en terme de balade à vélo.
Des photos numériques sur @necDOT et un diptyque (polaroid SX70 avec film Impossible Project PX70 CP) pour illustrer cette balade … « Street is watching you » par Isham1 et « Calligraphie » par Lady Alezia + Zepha …
29 juillet 2013 permalink
… oui, vraiment de tout mais certainement pas de rien et surtout du bon.
Il y a quelques semaines Seth m'était inconnu. Oui, je vous l'ai peut-être déjà dit (et vous l'avez constaté si vous avez visité mon autre blog tout en stencils, pochoirs et graffiti) je ne suis pas un streetart lover compulsif, juste un butineur légèrement acharné, parfois sur le terrain pavé, faisant et refaisant le trottoir (un péripatéticien du street art ?) au grand dam de certaines articulations récalcitrantes et, parfois, dans ma verte campagne, triant, éditant, retouchant ma récolte avec mon fidèle PC.
Donc qui dit butineur, dit butin. Eh, oui, sans butin que serait la vie ?
J'étais il y a quelques jours semaines (je retrouve ce billet, terré dans un recoin de mes dossiers. Oublié, impublié) à Paris … 1h de TGV et quelques jours (je consomme avec modération) rafraîchissants mais chaleureux (été si tu es là, montre-toi ! Merci.) plongé dans LA (j'exagère, je l'avoue) ville.
Au programme … récupérer chez Impossible Project Shop mon Polaroid SLR 680 de retour d'une nouvelle réparation (last but not least … espoir …), Hong Kong d'abord, le pays des tulipes ensuite, un grand voyageur indéniablement.. Va-t-il enfin montrer, démontrer sa supériorité ?
Et au programme aussi, découvrir Seth (grâce à ce site merveilleux qui m'avait dévoilé la carte aux trésors).
Seth dessine des personnages enfantins tout en rondeur, en finesse, en douceur qui s'intègrent dans l'architecture, passent les murailles et jouent avec les murs (intéressé ? Alors c'est ici).
Un petit diptyque (pas encore avec le SLR 680 mais avec un SX70 et films Impossible Project PX680 CP), Seth et Jana & JS …
23 juillet 2013 permalink
Impossible Project l'annonce clairement : le films couleurs PX70 et PX680 Color Protection apprécient les températures comprises entre 13°C et 28°C mais en deça ou au-delà … point moins de salut.
Suite à quelques conseils, je suis retourné (temporairement) au PX70 pour le SX70 (le PX680 avec filtre me paraissait plus convaincant comme le montre le billet précédent même si la température n’atteignait pas les 28°C) et après quelques déboires coûteux et inexpliqués (les 4 premières photos refusant de sortir … caprices, toujours et encore) j'ai pu prendre quelques clichés à Lille.
Comme précisé dans le titre, soleil et chaleur (température proche des fatidiques et impitoyables 28°C) étaient de la partie … tout comme la dérive de couleur typique des hautes températures (dominante jaune-orange-brun). Ajoutons à cela une bande verticale plus claire (les rouleaux étaient pourtant propres) sur des photos non sélectionnées pour ce billet … hasard, malchance mais oui, je retourne illico presto au PX680.
Dans la cour de l'Hospice Comtesse …
Un stencil de Mimi le Clown
14 mai 2013 permalink
ainsi débute ce poème calligramme (voir à la 7ème page de ce pdf) de Guillaume Apollinaire
Voici la maison où naissent les étoiles et les divinités
Cet arbrisseau qui se prépare à fructifier te ressemble
Un cigare allumé qui fume
Vous amants couchés ensemble
Vous séparez mes membres
Il est illustré (rue Guillaume Apollinaire à Wazemmes), en respectant la « mise en forme calligraphique » du poète, par une très belle fresque de Fabien Swyngedauw (La Yeah! Production), artiste lillois.
En attendant les photos à découvrir sur @necDOT (mon autre moi), un petit pola pris au SX70 avec un film P70 …