Dans le billet précédent je vous contais l’arrivée venteuse (because typhon) au port Takamatsu.
Nos premiers pas nous dirigèrent vers le port, d’abord pour des raisons logistiques (en connaître un peu plus sur l’organisation – et la désorganisation due au typhon – des ferries, les horaires … et plus) et puis c’est beau un port … non ?
Surtout quand le soleil se couche sur la mer intérieure …
Les ferries restant à quai …
… le petit tortillard local sorte d’antithèse sereine au Shinkansen mène paisiblement vers un des spots incontournables de Takamatsu …
L'intérêt de l'hiver pour un couche-tôt, moi en l'occurence, est que le coucher du soleil a plutôt tendance à précéder le mien 😉 Je peux ainsi aller à sa rencontre …
Et même si parler de coucher de soleil relève de l'escroquerie, selon la mécanique cosmique c'est plutôt la terre qui lui tourne le dos, cela ne gâche rien au spectacle souvent grandiose.
Donc, j'aime enfourcher ma monture et, à l'image du Petit Prince, attendre l'instant …
J'aime bien les couchers de soleil. Allons voir un coucher de soleil…
– Mais il faut attendre…
– Attendre quoi ?
– Attendre que le soleil se couche.
Et qui dit instant … sort son Polaroid lui aussi friand de ces moments magiques …
Une soif d'ailleurs, une envie de vaincre la grisaille … 3 jours à Milan.
Un city-trip (oui, le mot n'est pas joli) c'est une brève escale, un vagabondage dans l'ailleurs, une cueillette d'impressions, d'émotions … des paysages, des gens, des oeuvres d'art (ou pas), des odeurs, des emmerdes, des déceptions aussi … parfois, et souvent trop court pour un retour plus rapide que désiré.
Dans mes bagages, un Polaroid SX70 (en fait deux … le duo par précaution. Ces vieilles bêtes peuvent être capricieuses), pliables, relativement portables (on a fait mieux depuis mais c'est numérique), quelques packs (oui, ils supportent – jusqu'à présent – les rayons des contrôles d'aéroport tant en bagage de cabine, qu'en soute), …
Le pola rend la capture du moment plus physique que virtuelle, avec dans la main ce petit carton magique.
Le pola (selon Impossible Project) est aussi comme une émotion, pas toujours prévisible, prenant les couleurs de l'instant, sans retouche possible.
Et au retour, quelques dizaines de clichés … trier, revoir, se rappeler … puis scanner, sauvegarder … et, pour finir, publier …
Dans un premier billet généraliste (j'aurais pu écrire « fourre-tout ») …
… l'aéroport de Bergame … plus un test « couleur » qu'un cliché touristique 😉
Une chambre au 14e étage … skyline milanais(e) avec vue sur la gare centrale …
… et la nuit venant, coucher de soleil …
… du street art, mais ce sera pour d'autres billets …
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