Après février, mars … et une voilure plus que réduite polaroidement parlant …
Pour débuter le mois, quelques jours à Westende avec les chicoufs … cuistax et sable fin, fraîcheur et vent, mouettes et moules …
Le 15 … Ostende malgré l’impression de s’immerger dans un Ehpad à ciel ouvert, vélo, marche, … ça requinque …
Le 22 … « Magnolia » comme disait J.J. Cale. La météo permettra-t-elle à mon magnolia de resplendir ?
Le 24 … Lille …
Le 27 … plus d’un mois sans avoir posté un seul billet sur le blog … ma que pasa aqui ? Vous prenez une dose de procrastination, une dose de lassitude, une dose de « temps qui passe inéluctablement ». Vous saupoudrez le tout de grisaille printanière humide et fraîche et vous obtenez une mise en parenthèses … vite, vite tapons « ) » pour la fermer et tachons de reprendre le cours de nos divagations polaroidesques …
Le 29 … Déambulations à Bruxelles ( … je t’aime … 🙂 )
Un prélude aux cerisiers …
Une dernière semaine où le soleil et la chaleur du jour nous rappelle que l’été est à venir bien que … là-bas, à l’Est, retentissent déflagrations, explosions, cris et pleurs … l’histoire n’est pas morte, les tyrans, despotes, et autres dictateurs sont bien vivants et les humains trinquent …
Avec le mois commence l’année lunaire du tigre d’eau … il parait que l’eau a un effet adoucissant sur le caractère de la bête. Sera-ce un bien ? J’avoue que le buffle de métal ne m’avait guère convaincu. Qui vivra verra …
Le 2 … et hop, 3 polas dans le calendrier Photodarium 2023 … cool …
Le 8 … Lille, Mimi et quelques autres …
Le 11 … le Trou à Vaches ou le bout du tunnel ?
Soleil levant ou couchant … ombres et aveuglement …
Le 22 … Paris. Spot13, mais pas que …
Le 29 … ah, non, pas de 29. Un anniversaire en moins, une année gagnée sur le temps ? Pas sûr … septua(dé)génaire …
J’ai publié un premier billet consacré à cette superbe villa art nouveau située à Croix près de Lille.
Lors d’une première visite quelques défaillances (techniques et humaines … question défaillances le SX70, les films polaroid et moi-même faisons la paire sinon le trio) avaient perturbé mon shooting. Quelques jours plus tard, les circonstances météo étant plus que favorables je décidai de remettre le couvert …
A tout seigneur tout honneur … la photo que je ne voulais pas rater …
Le problème, c’est qu’elles se suivent et qu’à partir d’un certain âge on préférait que la fuite du temps soit un chouïa moins effrénée. Mais bon, qu’y faire …
Et c’est ainsi que pas plus tard que bientôt le compteur des années va s’incrémenter et qu’il va falloir changer de calendrier. 2022, va falloir s’y faire … (j’aurais aimé connaître 2222 … ces 2 qui se pavanent à la manière de cygnes sur un étang).
J’aimerais qu’en 2022 les bouches se dévoilent, les seringues regagnent leurs placards et que les cotons-tiges (pluriel de coton-tige ????) désertent nos narines … on verra.
De peur d’être déçu restons dans le vague et déplaçons avec doigté le curseur belle et le curseur bonne … excès va souvent de paire avec déception
Les mois se suivent dans une certaine mornitude … certainement, le mix Covid, météo bizarroïde (on peut appeler ça dérèglement climatique) et peu aguichante (quand on n’a pas souffert ses caprices extrêmes trop nombreux) et un certain blues non identifié … Alors entamer un nouveau mois avec bravitude (emprunt non autorisé ?), faut pas trop compter dessus.
Le 1 … Lille … luminosité pas top et donc ras. Quoique … ce mural de Duek Glez
Le 8 … re-Lille, en espérant que Biquette (oui, mon petit vélo) va voir son problème de « vitesses » réglé. Et bien non. Après une tentative désespérée du technicien, la panne est grave et l’Angleterre va devoir envoyer une pièce (LA pièce … j’ai pas trop compris quoi) et Brexit aidant il va falloir faire preuve de patience. Tant pis, waitons pour mieux see plus tard. Et puis la journée est belle, le ciel est bleu … alors déambulation au pied des immeubles lillois …
Le 10 … dans le calme d’une fin d’après-midi, le « crachement » caractéristique des brûleurs d’un ballon attire mon attention. Je m’arrache à mon bouquin, saute sur mon pola, le chausse du télé 1.5 et …
Le 11 … Lille encore … un ciel qu’on aurait voulu bleu mais qui se révèle brumeux et des polas qui « s’affadissent » (ou qui se décontrastent dans la pâlitude … pas facile d’exprimer le ressenti quand les mots qui pourraient y parvenir n’existent pas encore, … ou se trouvent embourbés dans une mémoire vieillissante) …
Le 30 … un week-end à Paris avec les chicoufs désireux de voir (et d’escalader) la Tour Eiffel , d’avoir un aperçu sur les madeleines de Proust de leur papa-enfant comme les sorbets coco Bertillon, le passage de l’Horloge (qui a bien vieilli, hélas … comme quoi lutter contre le temps n’est pas chose facile) et la fontaine Stravinsky avec les mobiles de Tinguely et Niki de Saint-Phalle … et surtout des films brûlés par le double passage sous les rayons des sas de contrôle de la Tour Eiffel …
Et puis novembre … Halloween, fête des morts … youpie !
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