Devant vous le soleil fait son majestueux … le petit coucher de monseigneur se transforme en superproduction, un blockbuster en puissance à condition que les nuages ne viennent pas jouer les gâte-sauces …
Et puis, dans votre dos, dans les vitrines des galeries d’art, des silhouettes prennent vie et s’enflamment.
Le coucher de soleil j’aime et le pola aussi … ça va (aussi) sans le dire. Quoique … le couple Polaroid-SX70 étant capricieux, facétieux, et plus encore tout est possible avec en bout de course surprise, déception, émotion, wowww qui décoiffe.
Ce que j’aime au coucher de soleil c’est qu’il ne risque pas de perturber mon réveil toujours un peu tardif et longuet … 3 tasses de café noir, sirotées rêveusement.
Les couchers de soleil suivants, encore tout frais (août 2022), ont été saisis à la côte belge … mais je doute que le soleil s’arrête à ce détail quant il est question de passer à une autre hémisphère.
Hop, hop, hop … on se remue. C’est la Polaroid Week en version printemps … Deux polas non publiés par jour. Oui, j’ai ça. Faut juste que je me réconcilie avec mon scanner …
On remarquera mon goût pour le tout et le n’importe quoi … pas de trame, de fil conducteur, une absence d’unité … la fibre artistique peine a vibrer. Et pourtant le pola c’est l’instant, et la somme des instants c’est la vie.
Le 24 … Slava Ukraini par Maya Hayuk à Roubaix (on parle pola alors que là-bas on s’envoie des bombes. Il est beau le genre humain …)
Le 25 … Dans l’intimité du magnolia (macro +4) …
Le 26 … Réflexions …
Le 27 … Face à la mer …
Le 28 … Sunset …
Le 29 … Last day(s) …
The end … devrais-je dire mais non je pense persister et signer … mon addiction polaroidesque n’est pas en voie d’apaisement …
Une deuxième (la première est ici) salve de polas en mode at home …
Les conditions lumineuses (lightbox … le flash a une désagréable tendance à cramer les objets trop proches) étant réunies … quelques polas macro (lentille Vivitar macro +4 et adaptateur SX37 de Brooklyn Camera), le tout sans flash … et in vitro …
Un mur, des visages bretons … Élodie Arshak et Fabio Lopez Gonçalo, alias Dourone, ont marqué leur passage à Vannes en terre bretonne avec la fresque intitulée « Sonder ».
« Sonder » est un hommage coloré et mélancolique aux rencontres faites en Bretagne. Ce mot allemand qui traduit l’idée d’un droit spécial, d’une dérogation, de quelque chose de particulier s’utilise également pour marquer une connexion spéciale avec autrui, associé à la prise de conscience d’une empathie singulière sur ce qu’il a vécu. (Page Web)
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