La Tour Eiffel c’est pour moi un, un peu comme l’Atomium, un monument emblématique qui, inévitablement, attire toujours mon attention mais rarement mes pas. Ai-je déjà testé ses ascenseurs ou ses escaliers, je n’en ai pas le souvenir … plus par agoraphobie que par crainte du vide.
Difficile de l’éviter, lorsque vous désirez joindre le musée du Quai Branly et la Maison du Japon (il est des moments où l’appel de l’estomac et l’envie d’un onigiri sankakukei sont irrépressibles). Et vous passez devant ce qui parait être un aquarium géant vide de poissons – logique, il n’y a pas d’eau – mais plein de touristes … sécurité oblige mais que c’est laid ! Et vous levez la tête … oui, c’est bien elle … majestueuse, baignée par un soleil d’hiver.
Il m’arrive d’imaginer que, voyant ce gigantesque squelette d’acier, Hergé l’aurait revêtu d’un pyjama à carreaux rouge et blanc avec la lune pour objectif …