Il y a quelques jours je vous disais avoir lâchement craqué sur eBay pour un Polaroid SLR 680.
Quand je dis « craqué » c’est que, à la 4eme enchère, je me suis retrouvé tout seul, plus rien, le vide intersidéral et j’ai donc emporté l’enchère. Situation étonnante car quelques jours plus tard, pour des SX70, la lutte (à laquelle je n’ai pas participé … ou si peu 😉 ) a mobilisé plusieurs dizaines d’enchères/enchérisseurs qui ont atteint des petits sommets. Dans les deux cas, les appareils étaient « cosmétiquement » parlant impeccables. Quant au fonctionnement …
Donc, la vente emportée, j’ai payé (et oui). Il me fallait ensuite attendre le bon vouloir des banques acheminant le magot vers le destinataire, le bon vouloir du vendeur occupé certainement par les fêtes et les achats de dernière minute (avec mon magot) et donc pas pressé d’expédier mon achat, puis, enfin, le bon vouloir de la poste française (la belge c’est pour après).
Mon vendeur m’ayant fourni un code pour suivre le colis, pour tromper mon impatience, j’ai donc rendu visite au site Colissimo.
A l’image des chinois qui avaient élevé le supplice à une forme d’art, Colissimo se défend assez bien pour faire languir le destinataire. Le 3 janvier le colis quitte la plateforme ouest pour s’apprêter à quitter le pays et le 4 janvier le colis rejoint la plateforme ouest en passant par la plateforme est. De là à supposer que l’étape suivante est la livraison chez le … vendeur, il n’y a qu’un pas que je refuse de franchir.
Wait and see …
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