Que ce soit l'arbre au quarante écus, ou mille écus (银杏) pour les chinois (ils font tout en grand, en plus, …), le bearer of hope d'Hiroshima, le sujet d'un poème de Goethe
La feuille de cet arbre qui de l’Orient
A été confié à mon jardin
Donne à apprécier un sens caché
Capable d’édifier l’initié
Est-ce un seul être vivant
Qui s’est scindé en lui-même ?
En sont-ce deux qui s’élisent
Au point qu’on les connaît comme un seul ?
Pour répliquer à de telles questions
J’ai sans doute trouvé le vrai sens :
Ne ressens-tu pas, à mes chants,
Que je suis un et double ?
beaucoup de choses ont été dites sur cet arbre …
D'un port banal (du moins le mien …), discret, en automne ses feuilles prennent une couleur d'or et lorsque un rayon de soleil automnal, lui aussi doré, baigne l'arbre … spectacle magique et bref.
Et bref … un coup de froid, un coup de vent et les feuilles se retrouvent au tapis … doré lui aussi avant que la nature ne reprenne le dessus.
Les feuilles ne sont pas les seules à être mises au tapis … 😉 …
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