La deuxième vague arrive, est là … et Trump est lui aussi toujours là. Entre virus c’est normal. Lequel nous quittera en premier ?
Le 1 … Bruxelles … gris, bruine et de temps en temps un pola, sombre comme la météo …
Le 8 … Bruxelles … encore … babysitting (les chicoufs c’est notre bulle sanitaire et joyeuse) et déambulations polaroidesques … que du bonheur évidemment …
Le 15 … vaccin … anti grippe … pour le Covid-19 soyons patients.
Le 16 … le rendez-vous à Lille était pris depuis 2 mois … Mr B. (mon petit vélo) va se faire refaire une beauté … pneus, freins, réglages et plus … la totale. Et même plus … gros craquage … un Brompton électrique. En attendant, quelques œuvres murales à l’universite Lille II …
Le 17 … petit colis de chez Supersense : quelques films de One Instant Pack Films … de quoi préserver mon pola 250 de la diète stricte et définitive imposée par Fuji …
Le 18 … Polaroid Week d’automne … intimidé de trouver ses banals petits polas au milieu de petits chefs-d’œuvre …
Le 26 … un rayon de soleil et c’est parti. Direction le moulin de Thimougies tout fraîchement et admirablement restauré avec trois (mono)pack de films OneInstant (ce qui nous reste en pack100 après l’abandon de Fuji) et, évidemment, un SX70 (ça aurait pu être mieux si je n’avais pas oublié un pack de film) …
Test nocturne … trépied et câble de déclenchement. Ça marche …
Fin du mois et retour probable du confinement. Une fois ça va. La deuxième c’est moins cool … À part ça, les cucurbitacées sont de sortie …
Toujours aussi sympa ta page.
Pour ce qui est de Trump, l’épidémie est en voie de très forte et prochaine décroissance vers le point de dangerosité très amoindri, pour l’autre, vaccin toujours, j’ai hâte de pouvoir en disposer, jusqu’ici je suis passé entre les gouttes, et puis je croise de plus en plus de gens à la mine hostile, quand je leur dit, ne faites pas cette tête, dix millions d’européens vivent sous le seuil de pauvreté, économiquement et socialement confinés depuis des années, rejouissons- nous d’être épargnés. Je leur cache que j’en suis, sinon je m’attirerais leurs foudres.