Attiré par l’exposition Pinceau Voyageur consacrée au peintre Alechinsky, mes pas m’ont mené jusqu’à la villa Empain siège de la Fondation Boghossian à Bruxelles. Un rayon de soleil étant de la partie tout comme mon inséparable SX70 et … quelques polas, vite, vite avant que le soleil automnale se glisse derrière les arbres et bâtiments voisins …
Il y a quelques temps j’avais consacré un billet à la villa Cavrois à Croix près de Lille et il est amusant de constater le parallélisme de vie de ces 2 villas. Construites à la même époque (vers 1930), avec un désir de modernisme assez provocateur pour l’époque, elles traversèrent les décennies avec plus ou moins de succès avant l’abandon et le vandalisme et puis la résurrection par la fondation Boghossian pour la villa Empain ou par l’état français pour la villa Cavrois.
Et hop, une semaine pola de plus. Chercher des polas inédits, choisir, scanner … comme d’habitude.
En fait des polas inédits ça ne manque pas étant donnés mes rapports assez tendus avec mon scanner … oui, il me reproche ma tendance à la procrastination.
Le premier jour … Londres et le National Gallery …
Jour 2 … le Spot 13 (Paris 13) …
Jour 3 … collages muraux à Lille …
Jour 4 … rock and roll sur ciel bleu (octobre 2024 à Ostende) …
Jour 5 … un parfum de vacances pas vraiment romaines (Biarritz) mais avec une Vespa …
… ok, comme joke c’est nul. Renzo Piano est effectivement l‘architecte de ce complexe de bâtiments à deux pas de notre camp de base pour un petit séjour londonien. A notre surprise, le soleil qui avait déserté le continent depuis quelques mois avait apparemment demandé l’asile auprès du roi Charles …
Each facet is unique, differing in height, orientation, color, and relationship to natural light. Glass, steel and ceramic are the primary elements of the skin. In each fact the ceramic is used in different shade and colors that respond to the surrounding building, thus helping to integrate the scheme in the immediate urban environment. (Site web)
Heureux alignement de planètes, coïncidence hasardeuse, … Il y a quelques jours je me baladais dans ma bonne ville à la recherche d’un graff, d’un mur, d’un vestige pariétal preuve d’une vie streetartesque, juste de quoi me faire oublier ce printemps aux allures d’automne pourri. Inutile de dire qu’à Tournai cette quête est digne de la recherche du graal … seuls quelques spots frémissent … parfois.
Ma cueillette fut évidemment assez maigre. Et donc, voilà que j’apprends l’ouverture d’une galerie-atelier (doublement … aux graffeurs Mahou et Amty s’ajoute un monteur de vélos fixies … et oui).
Exposition, événements divers pas encore au programme de la Graffilerie (j’adore ce nom) mais en projet (après l’été) … Bonne chance à eux
Je l’ai souvent dit mes déambulations sont rarement prédéfinies. Je suppose qu’alors je parlerais de parcours. Non, je vais d’un point A vers un point B en empruntant les rues de façon semi-aléatoire … « semi », oui, car tourner deux fois de suite à droite (ou à gauche évidemment) nécessite une correction au risque de rendre inatteignable le point B (je regardais il y a peu une vidéo montrant que mathématiquement partir d’un point A, suivre un itinéraire totalement aléatoire et espérer revenir au point A était totalement improbable).
Donc mes promenades urbaines relèvent de la déambulation aléatoire maîtrisée …
J’oubliais de préciser que mes déambulations ne sont pas totalement aveugles vu que, à la manière d’un cueilleur de champignons, je recherche les meilleures places susceptibles d’abriter collages, pochoirs, graffitis, … avec succès … ou non.
En mars, quelques pas (15000 😉 ), dans Bruxelles nuageux et froid (pas plus de 10°C), détails essentiels pour un polaroidomane comme moi …
Prendre le train pour atteindre ce fameux point A …
Quelques oasis balisent le parcours …
L’art de rue … discret ou pas … un tantinet irrévérencieux () ou pas …
Privacy & Cookies: This site uses cookies. By continuing to use this website, you agree to their use.
To find out more, including how to control cookies, see here:
Politique relative aux cookies