Je l’ai souvent dit mes déambulations sont rarement prédéfinies. Je suppose qu’alors je parlerais de parcours. Non, je vais d’un point A vers un point B en empruntant les rues de façon semi-aléatoire … « semi », oui, car tourner deux fois de suite à droite (ou à gauche évidemment) nécessite une correction au risque de rendre inatteignable le point B (je regardais il y a peu une vidéo montrant que mathématiquement partir d’un point A, suivre un itinéraire totalement aléatoire et espérer revenir au point A était totalement improbable).
Donc mes promenades urbaines relèvent de la déambulation aléatoire maîtrisée …
J’oubliais de préciser que mes déambulations ne sont pas totalement aveugles vu que, à la manière d’un cueilleur de champignons, je recherche les meilleures places susceptibles d’abriter collages, pochoirs, graffitis, … avec succès … ou non.
En mars, quelques pas (15000 😉 ), dans Bruxelles nuageux et froid (pas plus de 10°C), détails essentiels pour un polaroidomane comme moi …
Prendre le train pour atteindre ce fameux point A …
Quelques oasis balisent le parcours …
L’art de rue … discret ou pas … un tantinet irrévérencieux () ou pas …
On se promène, on se promène.