2021 … presque … il est temps de sacrifier à la tradition. Celle des vœux.
Et là, j’y vais à petits pas. Il y a un an mes vœux étaient gorgés de « santé », « bonheur », « prospérité » … bien que nappés d’un délicat coulis de doute … et ils se sont plantés dans les grandes longueurs. A ma décharge, je peux dire que je ne suis pas le seul car je doute que quelqu’un ait souhaité une belle année 2020 « pandémique » et « confinée » de surcroît.
Donc 2021 s’approche et faut reconnaître que, au minimum, sa première moitié risque d’être largement d’une couleur similaire à 2020. J’attendrais donc l’été pour mes vœux.
2020 a donc été un flop monumental et il serait souhaitable qu’à la manière des américains une class action soit organisée pour indemniser ces milliards d’être humain qui se sont pris 2020 en pleine poire … Évidemment, la procédure risquerait d’être longue … trouver un responsable (devrais-je dire un Responsable) nécessiterait de remonter haut, très haut, du moins pour ceux qui y croient. Quand à moi agnostique fataliste et résigné j’attends de voir ce que va nous offrir 2021 …
… et ça ne sent pas bon du moins pour la première moitié (si on pouvait directement sauter à juillet …).
En attendant, mettez de côté les grands principes style « droits de l’homme », « ma liberté individuelle » (grâce auxquels l’occident voit les vagues pandémiques se succéder alors que l’orient plus pragmatique fait la presque-fête, fréquente les restaurants, cinémas … vit) et faites vous vacciner. Le vaccin c’est un cadeau qu’on vous fait et non l’inverse.
Pour conclure je vous souhaite à tous non pas une bonne année mais plutôt une meilleure année 2021
Exceptionnellement je reprends ce cartoon dont j’ignore l’auteur (qu’il m’en excuse pour cet emprunt) et qui témoigne de mon état d’esprit en ce 31 décembre …
Je suggère d’appeler 2021 2022 directement comme 22 revoilà les beaux jours , quand je dis beaux jours, disons plutôt pas trop dégueulasses, comdab quoi. Et pour se montrer super optimiste disons 23, non pas pour que reviennent les temps comme avant, mais des temps comme il n’y en eut jamais. L’impossible en qque sorte.
Allez Bruno, on les aura!
Bonne année à toi Bruno et aux tiens, je t’embrasse.