#pola²# … châtaignes, des polas de saison

2 décembre 2021   2 commentaires   permalink

Il y a peu je me posais la question de savoir comment distinguer un marron d’une châtaigne …Mon chicouf de 7 ans me regarda surpris et me répondit que c’était simple … une histoire de bogues et de piquants, la châtaigne étant plus spécialement adaptée à une main de fakir …

Pour le reste entre le « marron n’est pas comestible » et la purée de marron, les marrons glacés et un mont-blanc j’ai tendance à bugger. En fait c’est simple, si votre marron fait partie de la famille des hippocastanacées et non des fagacées et bien, évitez-le ou ayez sous la main le numéro du centre anti-poisons.

Cela étant dit … un petit shooting totalement comestible (100% châtaigne) avec l’adaptateur SX37 de Brooklyn Film Camera et une lentille Vivitar macro +4 …

Chataigne ...
Chataigne ...
Chataigne ...
Chataigne ...
Chataigne ...

Albizia rose …

18 août 2021   2 commentaires   permalink

On peut se contenter de l’admirer lorsque le soleil joue avec ses soies ou se laisser entraîner dans son rêve … il ne s’appelle pas pour rien l’arbre dormeur ou encore dormeur de nuit (Wikipedia qui sait tout sur tout nous dit même qu’il aurait des propriétés antidépresseurs chez la souris. Information capitale …).

On peut aussi simplement figer l’instant …

Albizia ou arbre à soie rose
Albizia ou arbre à soie rose
Albizia ou arbre à soie rose
Albizia ou arbre à soie rose

#pola²# … Rouge comme un pola

6 juillet 2021   0 commentaire   permalink

Après la disparition du Polaroid original, niveau business ce n’était plus tendance et niveau chimie, non plus … arrêt de production pour certains réactifs, incompatibilité environnementale pour d’autres …

La route a été longue pour Impossible Project … retrouver ce paradis (d’accord ça manque d’anges … quoique …) perdu n’a pas été chose aisée. On s’était pris à aimer la réinterprétation des couleurs … les polas d’Impossible apportaient à chaque fois une dose de surprise, une dose d’échecs, une dose de frustration et une grosse louche de plaisir/bonheur.

Petit à petit, par légères touches façon trial and error, Impossible poursuivait sa quête du Graal, le Polaroid d’antan.

Puis Impossible Project redevînt Polaroid Original puis Polaroid … avec côté public un marketing assez offensif (pas toujours de bon goût … juste dans l’air du temps 😉 ) et côté discret une amélioration constante de la chimie.

Le rouge, le vrai avait été plus ou moins oublié (sauf chez certains polaroidomanes assez magiciens) et puis … petit à petit il est réapparu … façon coquelicot en close-up …

Red poppy ...
Red poppy ...
Red poppy ...
Red poppy ...
Red poppy ...
Red poppy ...
Red poppy ...
Red poppy ...

Ombre et textures végétales …

10 novembre 2020   2 commentaires   permalink

Quelques polas confinés, … quand la nature se rappelle a nous avec délicatesse …

Nature, texture and shadow ...
Nature, texture and shadow ...
Nature, texture and shadow ...
Nature, texture and shadow ...
Nature, texture and shadow ...

Dandelion, taraxacum ou pissenlit … je sème à tout vent

23 octobre 2020   0 commentaire   permalink

Suivant ses vertus diurétiques (et apparemment nocturnes) ou la forme agressive en « dents de lion » de ses feuilles on nommera cette plante pissenlit ou dents-de-lion (dandelion) …

Cette plante à la floraison banale acquiert légèreté à la maturation. Qui, à l’image de la « madame » du Larousse, n’a pas pris plaisir à souffler sur la plante et disperser la centaine de petits parachutes (lire en fin du billet un extrait de Wikipedia … entre hard-science et poésie surréaliste) ?

En pola muni de la lentille closeup c’est pas mal non plus (c’est mon avis et je le partage) …

Dandelion ...
Dandelion ...
Dandelion ...
Dandelion ...
Dandelion ...
Dandelion ...
Dandelion ...

L’observation des akènes dans une soufflerie verticale a permis d’identifier un phénomène de mécanique des fluides original concernant l’aigrette du pissenlit. Ce pappus poreux contient de 90 à 110 filaments (en dehors de cette plage, le phénomène ne s’observe pas). Sa géométrie et la répartition des filaments créent une bulle d’air stable en forme de vortex toroïdal (en) (vortex en forme d’anneau comme le rond de fumée de cigarette) détaché du corps de la graine. Cette bulle forme une zone de basse pression qui tire l’akène vers le haut et lui permet de profiter de courants ascendants pour être disséminé sur des distances pouvant atteindre facilement 10 km. Si les courants aériens sont favorables, le pappus permet une dispersion transocéanique des graines par le vent, ce qui favorise la spéciation allopatrique. (Wikipedia)

Où suis-je?

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