Quelques polas confinés, … quand la nature se rappelle a nous avec délicatesse …
10 novembre 2020 2 commentaires permalink
Quelques polas confinés, … quand la nature se rappelle a nous avec délicatesse …
3 novembre 2020 1 commentaire permalink
une triste histoire … si l’on en croit Wikipedia …
Le moulin du village fut construit au début du xvie siècle. Il fut détruit une première fois en 1606 puis remis sur pied et renversé une seconde fois en 1782 par un ouragan. Il revit le jour 7 ans plus tard. D’abord utilisé comme moulin à farine, il servit ensuite de poste d’observation lors de la première guerre mondiale en raison de son excellente situation géographique, il se situe en effet sur une colline de 90 mètres d’altitude. À la suite de la guerre, il reprit sa première fonction. Laissé à l’abandon pendant plusieurs années il fut restauré en 1943. Classé au patrimoine Wallon, le moulin à vent fut détruit par une rafale de vent le 10 janvier 2008. (Wikipedia)
Heureusement ce bon Wikipedia peut avoir des lacunes et ignorer que depuis quelques mois le moulin entièrement restauré trône de nouveau sur sa colline et, entièrement fonctionnel, s’est remis à moudre le grain …
Quelques photos avec le OneInstant PackFilm de Supersense (et oui, ce n’est pas du numérique … artisanal, expérimental … qui fait revivre votre vieux Polaroid Land condamné à l’oubli par Fuji) …
… et aussi du polaroid SX70 Color …
28 octobre 2020 1 commentaire permalink
Deuxième (printemps et automne) semaine pola 2020 … et comme à chaque fois il faut choisir chaque jour 2 photos non publiées. Sélectionner … dur, dur. Choisir ça serait renoncer, pas faux. C’est aussi éliminer, rejeter … pas cool ça. Et donc, à chaque fois je sens en moi le doute s’immiscer 😉
En 2019, c’était du Japon que j’avais publié ma sélection … je commencerai donc par 2 photos prises à cette époque (et non encore publiées indeed) … A Uji, le temple Byodo In et au bord de la rivière Uji …
Jour #2 … dandelion (c’est plus doux que pissenlit … non ?) …
Jour #3 … un cheval …
Jour #4 … « playing with things » , évasions polaroidesques, solar system ou fantaisies cosmiques …
Jour #5 … scruter le ciel (Damme) …
Jour #6 … un peu de streetaroid (Boulogne-sur-Mer) pour finir en beauté
En conclusion cette impression de shooter tous azimuts, un manque de cohésion, une dispersion créatrice (ou pas), … mixons le tout et retirons-en un maximum de plaisir …
23 octobre 2020 0 commentaire permalink
Suivant ses vertus diurétiques (et apparemment nocturnes) ou la forme agressive en « dents de lion » de ses feuilles on nommera cette plante pissenlit ou dents-de-lion (dandelion) …
Cette plante à la floraison banale acquiert légèreté à la maturation. Qui, à l’image de la « madame » du Larousse, n’a pas pris plaisir à souffler sur la plante et disperser la centaine de petits parachutes (lire en fin du billet un extrait de Wikipedia … entre hard-science et poésie surréaliste) ?
En pola muni de la lentille closeup c’est pas mal non plus (c’est mon avis et je le partage) …
L’observation des akènes dans une soufflerie verticale a permis d’identifier un phénomène de mécanique des fluides original concernant l’aigrette du pissenlit. Ce pappus poreux contient de 90 à 110 filaments (en dehors de cette plage, le phénomène ne s’observe pas). Sa géométrie et la répartition des filaments créent une bulle d’air stable en forme de vortex toroïdal (en) (vortex en forme d’anneau comme le rond de fumée de cigarette) détaché du corps de la graine. Cette bulle forme une zone de basse pression qui tire l’akène vers le haut et lui permet de profiter de courants ascendants pour être disséminé sur des distances pouvant atteindre facilement 10 km. Si les courants aériens sont favorables, le pappus permet une dispersion transocéanique des graines par le vent, ce qui favorise la spéciation allopatrique. (Wikipedia)
14 octobre 2020 0 commentaire permalink
La rentrée c’est pour les autres … les jeunes. La flèche du temps n’ayant pas encore implémenté un effet boomerang, le retour vers le passé n’est donc pas à l’ordre du jour alors … carpez diem, carpons diem … tant qu’on le peut.
Calme … et cette triste (du moins pour moi) sensation d’un été qui s’en va la queue entre les jambes, un peu gêné de nous avoir fait croire à une accalmie covidienne et d’un automne à l’affut derrière la porte avec sa collection de virus hivernaux ou pas. Le covid, lui, a donc repris de la vigueur. Les voyants rouges et oranges clignotent, les frontières s’ouvrent, se ferment, dans un sens mais pas nécessairement dans l’autre, les avions décollent … ou pas. Drôle d’époque.
Le 1 … Jef Aerosol s’est une fois de plus emparé d’un mur dans son patelin de Marcq-en-Baroeul … j’emmène mon Pola 250 (il me reste quelques packs de Fuji FP-100C … périmés évidemment)
Quelques polas d’évasion … façon système solaire …
Le 5 … pas pour moi mais on va partager 😉 … un Brompton électrique, dénommé Biquette (oui, la chèvre de Pirlouit. La ressemblance est frappante … noire, courte sur patte, nerveuse, inconfortable, attachante … J’en jouerais de la sacqueboute)
Le 10 … on emmène Mr B et Biquette au cœur du plat pays, au bord des paisibles canaux …
Le 14 … été indien et une montgolfière …
Le 15 en pays flamand (du côté de Wevelgem) … quiétude et muralisme … façon SX70 …
… ou One Instant avec un Polaroid 250, le successeur (non, successeur ne rime pas nécessairement avec progrès) du regretté Fuji FP100C …
Le 19 … Herbiester … nature mais pas que …
Le 29 … Bruxelles … chicoufs et déambulations …
Septembre c’est fait. La deuxième vague, pas vraiment tsunami, est bien là … oui, il est hargneux ce virus …