Que dire … si ce n'est que la journée était belle, entre une fête scolaire et un bref (l'inextensibilité du temps pose parfois problème) passage à l'expo Expolaroid à Saint-Gilles.
Sur la route, la tête un peu dans les étoiles …
15 mai 2018 0 commentaire permalink
Que dire … si ce n'est que la journée était belle, entre une fête scolaire et un bref (l'inextensibilité du temps pose parfois problème) passage à l'expo Expolaroid à Saint-Gilles.
Sur la route, la tête un peu dans les étoiles …
3 mai 2018 0 commentaire permalink
Avril … le magnolia …
Arbre banal pendant quasiment 50 semaines par an, mon (les autres aussi, je suppose) magnolia salue le retour du printemps par une brève et exubérante explosion. En quelques jours les boutons éclatent, les fleurs s’ouvrent et les pétales fines et immaculées filtrent la lumière du soleil … un feu d’artifice en plein jour. Et puis, très vite, le cycle vital reprend le dessus. Ce qui n’était qu’un instant magique fait place à une apparente décrépitude … les pétales tombent, brunissent sur le sol. Rideau …
N’empêche qu’un bref instant on se sent poète … du moins dans la tête.
« Je vois le ciel
Où il n’y a que
Des fleurs de magnolia » (Natsume Sôkesi)
Le Polaroid aussi … lorsque la fleur de magnolia se glisse entre le soleil et la pellicule …
17 avril 2018 1 commentaire permalink
Prenons une ville du nord de la France. Disons, Roubaix …
Ajoutons un de ses enfants plutôt célèbre … le compositeur Georges Delerue. Plus de 300 musiques de films à son actif …
Et pour finir, demandons à un artiste brésilien Joao Samina de sublimer (si sublimable il est …) l'ensemble sur un pignon … roubaisien.
Nous obtenons ainsi, une superbe fresque, un portrait au pochoir en noir et blanc très contrasté, découpé géométriquement, décalé et mélangé avec d'autres formes où le rouge prédomine …
Et pour ce qui me concerne, un Polaroid SLR680, le soleil en face 🙁 … (Et anecdotiquement un Polaroid 240 qui rend l'âme … grrrrrrrr … Ô rage, Ô désespoir …), le tout façon pola² …
1 avril 2018 1 commentaire permalink
Quand le grain vient à manquer, le moulin s'arrête … pas le vent.
Vaguement pitoyable, le moulin immobilisé devient site touristique … pas vraiment glorieux. Heureusement que le Polaroid interprète la réalité, lui donne un (une ?) aura chargé de mystère …
{Polaroid SX70 / Film Polaroid Originals SX70 Color}
18 mars 2018 1 commentaire permalink
Après la gare, descendons vers la rivière Yangon , dépassons la pagode Sule recouverte d'or (je suppose) et plongeons dans les vieux quartiers chinois …
Les trottoirs sont exigus, encombrés (échoppes, gros générateurs électriques because coupures d'électricité fréquentes, …), défoncés (gare aux trous, aux dalles qui basculent et aux égouts ouverts ici et là, et on ne s'étonne pas de croiser un rat apparemment surpris de nous voir).
Là aussi, le temps et les pluies de mousson ont donné un sacré coup de vieux aux maisons coloniales, pas encore ruines ni taudis mais pas loin …
La circulation (piétons, voitures et étonnamment, je pense au VietNam, pas de motos) y est dense on klaxonne quand on est une voiture et, comme piéton, on y va … et ça passe généralement (attention aux mauvaises bonnes idées, comme celle de confier sa sécurité aux passages pour piéton).
Très vite on abandonne (partiellement) politesse et courtoisie … si on veut progresser dans et avec la foule il faut rester dans sa bulle et y aller sans états d'âme …
Les taxis sont omniprésents, vous appellent d'un discret coup de klaxon … reste à leur expliquer votre destination. Abandonner l'accent d'Oxford (et alentour), wouler les ew, … et peut-être verrez-vous le chauffeur acquiescer et vous donner un prix que vous diviserez par deux avant de l'augmenter petit à petit … si le taxi ne s'est pas encore envolé. Après quelques échecs, on en vient à gérer les transactions à la satisfaction des deux parties. Attention, lorsque vient le moment du paiement évitez les billets légèrement déchirés … ils seront refusés obstinément par le chauffeur.