Le premier volet de ce billet était étiqueté « Citytripoid » … pas/peu concluant comme étiquette … testons « Polacitytrip ». Pas top ? Tant pis …
Lors du premier volet, je vous narrais ma déception. Face aux rayonnements inquisiteurs de la douane mes packs polaroid n’avaient guère résisté. La chimie est faible parfois …
C’est donc techniquement affaibli que je (mon SX70) captai quelques instants danois … aléatoirement, subjectivement … comme toujours.
Copenhague c’est évidemment la petite Sirène qui, pour être petite, l’est réellement …
Et puis des rues, des quartiers, des façades, des pubs, des vélos (beaucoup) … une ville quoi
Citytripoid … de « citytrip » et « polaroid » … évidemment. Une association pas toujours heureuse … le polaroid n’aime pas l’avion et encore moins les douaniers suspicieux qui arrosent de rayonnements agressifs nos pauvres bagages.
C’est donc avec une chimie subtilement perturbée que les films emportés relateront vos souvenirs …
Après un court vol (le hublot n’est pas non plus l’ami du pola), c’est parti pour une immersion chez les vikings …
Et oui, les films ont souffert et un voile rose va perturber/affadir mes souvenirs … grrrr … certains diront que le charme du pola réside (aussi) dans ses faiblesses … peut-être ?
(Moi, réalisant que mes films ont pris un coup de rayons sans crème protectrice)
(Va falloir s’y faire)
A deux pas de l’hotel (quartier Westerbro) un ROA … présage heureux ?
Et puis il y a aussi Norrebro , graffiti, streetart, l’expression libre à la danoise …
A l’image de ce qui s’était passé à la Tour 13 (dans le 13e), un bâtiment voué à la démolition a été cédé aux artistes pour un bref moment …
Organisé par le Collectif RAS, cet événement urbain gratuit choisit de mettre en avant le quartier Python-Duvernois, avec son histoire et ses habitants. En plus des grandes fresques, on retrouvera donc projections, conférences, animations, live painting ou encore DJ sets, qui rythmeront le festival et redonneront vie au bâtiment. Un vrai festival hors norme ! (site Lebonbon.fr)
Le projet, dénommé Planète Périphérique, assez vaste est resté ouvert au public jusqu’au début du mois de mai … une soixantaine d’artistes s’exprimant sur plus de 3000 m2 sur 5 étages et 21 logements. La visite valait bien un petit déplacement à Paris.
Même si la nature du projet (streetart en intérieur) n’est pas le domaine de prédilection du SX70, en voici un petit aperçu polaroidesque …
L’approche du site et un mural de l’italien Ozmo … pas d’erreur, c’est bien ici …
Chaque année depuis 2016, des artistes de renommée internationale posent leurs bombes, leurs pochoirs, leurs pinceaux à Ostende pour le festival The Crystal Ship.
Il faut prendre le temps de parcourir la ville, le plan (disponible au bureau du tourisme) dans les mains et les yeux en l’air, pour découvrir un panorama très variés d’oeuvres murales remarquables.
J’en ai déjà parlé et ces derniers jours, un bref passage avec une météo très venteuse et froide, m’a fait redécouvrir certaines œuvres …
Page blanche, un mur attendant impatiemment la venue d’Elléna Lourens …
Arno, citoyen ostendais disparu récemment, peint par Helen Bur …
Privacy & Cookies: This site uses cookies. By continuing to use this website, you agree to their use.
To find out more, including how to control cookies, see here:
Politique relative aux cookies