Bernardin de Saint-Pierre aurait dit (ah qu'il est doux d'exposer sa culture, d'autant plus si elle est botanico-littéraire 😉 … avec un petit coup de pouce de ce bon Google) dans le deuxième tome de ses Études de la Nature
… campanule que Tournefort regarde comme la plus belle qu'il ait jamais vue, et qu'il sema au jardin des plantes, où elle a réussi, est de forme pentagonale. Chacun de ses plans est formé de deux portions de cercle, dont les foyers se réunissent sans doute sur la même anthère ; et le limbe de cette campanule est découpé en cinq parties, dont chacune est taillée en arcade gothique comme chaque pan de la fleur.
Effectivement …
J'avouerai que de cette petite fleur assez sauvage, vigoureuse quand elle trouve sa place, je retiendrai l'origine de son nom … campana, petite cloche en latin.
Laisser un commentaire