De passage à Paris, début octobre, je ne pouvais manquer de faire un saut à l’Impossible Project Shop de la rue Charlot pour leur confier deux grands malades, un SLR680 ayant bravé les lois élémentaires de la gravitation avec pour résultat une tête bien fracassée (même si l’auto-focus ronronnait encore …) et mon SX70 Alpha préféré (trou pour trépied et encoches pour lanière) au bouton rouge-déclencheur baladeur … Retour promis vers la fin du mois d’octobre.
J’en profitai pour acheter quelques films … M’exprimais-je mal ? Ou la charmante demoiselle avait-elle la tête ailleurs ? Je me retrouvais avec deux films noir et blanc plutôt que couleur. Et c’est seulement le lendemain à la sortie de la première photo que je constatais la méprise avec surprise. Sigh …
Oui, le noir et blanc me met mal à l’aise … d’abord pour des raisons comment dire … artistiques (un bien grand mot dans mon cas mais j’ai l’impression d’avoir une « vision » des choses plutôt « couleur ») et des raisons techniques, le noir et blanc est encore plus capricieux (protection à l’éjection, exigences en terme de luminosité … et, dit-on, stabilité dans le temps moins assumée avec virage au sépia).
Face au dilemme, retourner à la boutique pour un échange ou tenter bravement l’aventure, fidèle à moi-même, je choisi la deuxième voie de l’alternative 😉
Quelques beaux gâchages évidemment mais aussi …
… quelques photos plaisantes sur le quai d’Austerlitz …
… et à la Butte aux Cailles …
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