Si le pola fait retour vers le passé, fleure bon un temps où la vie était plus douce, plus cerise (illusion ?), les films par contre se singularisent par une empreinte écologique assez profonde. Du boîtier plastique à la batterie incorporée en passant par les produits chimiques, ils ont (presque) tout faux.
C'est donc bourré de remords que je vis ma vie de pola-addict. Et pour atténuer cet impact, pour apaiser mes remords, je roule moins vite, 10km/h en moins ça fait moins de carburant brûlé. Je devrais faire pipi en prenant ma douche mais je préfère un bain (que d'eau gaspillée … shame on me). Je trie mes déchets, je consomme équitable, mes épluchures vont au compost, … etc … 😉
Il m'arrive même de croire qu'un pola champêtre est à moitié écologique. Il est permis de rêver …
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