Deux fois par an, elle revient … et à chaque fois revient aussi le questionnement existentiel du choix des polas …
Le choix se complique par le fait que les polas doivent être inédits. Il faut donc avoir une petite provision de polas non publiés (il y en a … là, piaffant d’impatience devant le scanner ) et publiables (la subjectivité de ce critère me permet le tout et le n’importe quoi 😉 ).
Et si ma « production » vous paraît hétéroclite, c’est normal … Je ne construis pas mes polas, plus documentaires qu’esthétiques (ou artistiques, c’est selon …), je les rencontre. A l’image de la vie, les instant(ané)s se suivent et ne se ressemblent pas.
Au menu …
Jour #1 … deux polas façon « hanami » pour bien débuter la semaine …
Jour #2 … la passerelle (Paris) …
Jour #3 … soleil, sable et ombre … c’est quand l’été ?
Jour #4 … non publiés ne signifiant pas récents, et publiables n’excluant pas la fantaisie aléatoire de la chimie polaroïdesque … il y a un an en Birmanie, ce qui aurait dû être un coucher de soleil sur le fleuve Irrawaddy à Bagan …
Jour #5 … puis-je faire l’impasse sur le streetart ? Non, évidemment … dans les rues d’Athènes ce doux regard (merci Ecloz) …
Jour #6 … la marée se retire, la semaine du pola s’achève … pour moi, pas vraiment …
The end … Next in october 😉
Hanapo pourrait-il exister pour dire admirer tes polas?
Je crois bien que oui.