Fin juillet, le TGV m’emmenait, pas toujours à grande vitesse, d’ailleurs, vers Bordeaux.
Pour un belge, Bordeaux ça sent le début d’un sud, plus vin que pastis. Et moi ça m’arrange, l’anis n’est pas mon truc. A 4h30 de Lille sur papier, et un peu plus dans la vraie vie, se trouve la gare Saint-Jean.
Et c’était quoi Bordeaux ? Un flot de nouvelles impressions, de nouveaux instants souvent interprétés par la chimie du polaroid (certainement plus fiable – je n’ai pas dit « fidèle » -, plus poétique que ma paresseuse mémoire).
Premières (pas qualitativement, juste dans l’ordre aléatoire de mes quelques prochaines publications) impressions … les rues de la vieille ville lorsque le soleil se couche (car lorsqu’il se lève moi je suis couché 😉 ) et joue avec les ombres …
A suivre …
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