En mai, je traversais assez rapidement Verviers … j’y ai vécu une vingtaine d’années mêlant insouciance de l’enfance et mornitude (désolé … pas mieux dans mon dico) de l’adolescence avant de m’éclipser vers un sensible mieux …
Donc, je traversais rapidement Verviers … autant dire que ce n’était pas pour un gâteau éponyme, une tarte au riz bien locale ou mieux encore un vrai massepain cuit, ma madeleine de Proust, mais pour d’autres douceurs … quelques fresques/murs streetart qui avaient échappés à mon attention bien que présents depuis au moins une année.
Élaborées autour d’un bouquin d’Edwy Plenel (oui, bon, d’accord … la larme au coin de l’oeil, la moustache frémissante, le verbe frémissant et accusateur … Saint-Just édulcoré. J’apprécie modérément ), « Dire Nous », 5 œuvres murales « agrémentent » le paysage local.
Mais aussi …
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